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Romans érotiques de Marc-Roger VICTOR

29 octobre 2013

Où y a Eugène y a pas de plaisir

 

« OÙ YA EUGENE YA PAS DE PLAISIR »

 

**************ROMAN**************

Nota/ Toute ressemblance avec des personnes ayant existé n’est pas fortuite.

 

 

CHAPITRE 1

Je rentrais ce soir là à la même heure que d’habitude, du moins en avais-je l’impression, peut-être était il plus tôt ou plus tard……….

Elle m’attendait lascive, assise sur le canapé de cuir noir, acquis d’occasion depuis déjà un certain temps, les crevasses et les plis du cuir attestaient de son ancienneté et de tous les sièges qu’il avait connus au cours des années passées ………

Combien de culs inconnus s’étaient posés là? Devant elle, la petite table basse en bois ciré supportait immuablement le même décorum, un cendrier de verre en couleur sur lequel malgré l’âge, les lavages et la maltraitance subie on pouvait encore lire …New-York. Le cendrier n’était jamais seul, un paquet de cigarettes Winston largement entamé lui tenait compagnie ainsi qu’un briquet rouge en plastique sur lequel on pouvait lire l’inscription Bic.

Au milieu de ces pièces sans anonymat, comme des

pions sur un jeu d’échec, trônait, telle sa majesté le roi, la pièce essentielle, un verre empli de vin blanc que la liqueur de cassis avait légèrement rosi.

La télévision était allumée, non regardée, simplement écoutée, sans être entendue.

A l’autre bout de la pièce, sur le plateau du buffet, un

bâton d’encens se consumait lentement, planté incliné sur une planchette adéquate.

A l’extrémité du bout incandescent, la cendre se dessinait en crosse tortillée prête à tomber.

L’odeur parfumée nous parvenait, légèrement envoûtante.

Elle avait mis ses bottes, celles qui enveloppaient soigneusement tout en conservant le galbe de ses mollets.

Les jambes croisées dévoilaient ses genoux et une partie

de ses cuisses qu’ une robe de laine noire moulante et

trop courte laissait dénudées.

Nous étions probablement dans un mois d’hiver.

Je m’étais assis à son côté, sur sa gauche, las de ma journée..

J’allumais une cigarette, elle aussi, on s’embrassa.

Elle commença le rituel.

-Alors! raconte ta journée, comment s’est- elle passée ? 

Et, comme chaque soir, je racontais, racontais et racontais encore ……….cela durait quinze ou vingt minutes…..dix heures en quelques minutes….

Mais oh combien nécessaire!

Elle me regardait, se taisait, écoutait, savait que cet exutoire était incontournable et vital pour que je puisse comme tout un chacun recommencer les dix heures du lendemain….

Elle se leva, alla me servir un apéritif, s’en servit un deuxième, peut- être était-ce le troisième?………

Rien n’y paraissait.

Je me tus. C’était à son tour de dire les choses nécessaires.

Elle s’était rassise, me regarda et se mit à sourire….

Ses yeux d’un vert rare, avaient souvent provoqué l’admiration voire l’étonnement de bons nombres de ceux qui croisaient son regard.

Ses yeux, moi je les connaissais, mais n’en étais pas moins toujours aussi admiratif, amoureux et victime plus ou moins inconsciente certainement.

J’ai quelque chose à te raconter, me dit elle ……sa voix était douce ……et interrogative.

Il faut que tu me promettes de ne pas t’énerver, ni te fâcher.

Elle accentua son sourire et releva ses paupières.

Elle passa sa main d’un geste courant dans sa mèche de cheveux noirs et dégagea son front.

Je la regardais, elle comprit sans mot dire que j’acquiesçais à sa demande.

- Voilà, me dit elle doucement, j’ai eu cet après midi la visite de William.

-Ah bon! Et alors?

-Alors euh…….

-Je t’écoute, raconte.

-Ben…..il voulait que …comme par le passé, coucher avec moi….

-Ah oui !     

Elle alluma une cigarette, moi aussi.

-Tu as dit quoi?

-Rien ……..

-Il t’a touchée, embrassée?

-Mais non, enfin oui ….peut être, un peu….

-Comment un peu? les seins?

-Oui, les seins mais un peu seulement, je lui ai dit que rien ne se ferait sans toi, sans ta présence. 

Je regardais le bâton d’encens, la spirale de cendre allait bientôt tomber.

-Et toi tu veux quoi? demandais-je.

-Comme tu veux…….

Je tire sur ma cigarette, elle aussi.

-Tu sais que tu commences à m’exciter !…..

On se regarde silencieux…..

Ce n’était pas la première fois, que cette situation était créée, la suite se déroulait souvent de la même manière.

Une fois encore je saisissais cette occasion et décidais,

sans lutter, d’entrer dans le jeu de mes fantasmes.

J’éteignais ma cigarette, elle en rallumait une.

La cendre de l’encens était tombée, le bâton continuait de brûler, le parfum nous parvenait silencieux et un peu plus pénétrant.

-Moi, je veux bien! Mais……à condition que………

-A condition que quoi?

Elle me posait la question, alors qu’elle connaissait la réponse et commençait elle aussi à se sentir excitée,

ses yeux soudain plus brillants trahissaient sa fébrilité naissante.

Je repris une cigarette, me levais pour entrouvrir la

fenêtre.

Elle regarda dehors, la nuit tombait, un petit courant d’air froid traversa la pièce, la soirée s’annonçait chaude, très chaude………

Pourquoi allais je encore céder à ce jeu?

Lequel des deux était le plus faible, lequel était le plus fort?

Le désir de jouissance l’emportait toujours.

« Ta queue te perdra .» ….Me disait mon père.

Qui avait un jour commencé?

Je sais que c’est moi, quinze années nous séparaient, en fait cette différence d’âge nous avait aussi rapprochés, et m’avait permis d’affirmer une certaine ascendance et de fabriquer la complicité qui nous animait.

Peut-être, pour plus de compréhension, faut il savoir que mon précédent mariage, seize ans durant, avait survécu accompagné d’une femme quasi asexuée dépourvue de

désir et ignorante du plus petit fantasme, victime sans doute de son éducation au sein d’une famille de calotins, circonstance atténuante s’il en fut.

Elle se leva, me servit un second verre et s’en resservit aussi.

Je refermais la fenêtre, la fraicheur se faisait ressentir.

J’éteignis ma cigarette. Elle non.

Les conditions?

-Tu vas devoir me satisfaire sexuellement,

m’offrir tout ce que tu accepteras de ton amant de passage car je sais que tu ne lui refuseras rien de ses exigences.

-Tu vas aussi te soumettre, accepter de moi ce que tu accepteras de lui.

Ses yeux brillaient d’avantage, elle acceptait à l’avance

ce que j’allais lui imposer.

Elle prit son verre, me le tendit, je pris le mien ……..

-Tchin! me dit t’elle.

Je regardais le bâton d’encens…..Il était entièrement consumé.

Elle se leva, je regardais envieusement ses hanches, elle en ralluma un autre.

-Je monte! dit-elle…..

-Tu vas où?

-Dans la salle de bains.

Cette pièce était contigüe à notre chambre.

Elle retira ses bottes, avec élégance et sensualité,

emprunta l’escalier, à la quatrième marche elle se retourna, me sourit……..

-Tu viens!

-J’arrive dans un instant…….Je finis mon verre.

Le sien, inachevé, restait sur la table basse.

Quelques minutes passèrent, plus longues que d’autres. Je finissais mon verre, regardant un spot publicitaire qui vantait les mérites d’une marque de voiture allemande inaccessible pour la plupart des téléspectateurs. J’éteignis la télé.

Un lourd silence se fit, immédiat, brutal, j’entendis l’eau couler dans la vasque de la salle de bains.

Je l’imaginais déjà presque nue, je me levais, respirais une fois encore l’odeur excitante de l’encens, j’enlevais mes chaussures et allais la rejoindre.

Elle se tenait debout, dans l’ouverture de la porte, les jambes légèrement écartées, les poils de son sexe blanchis d’une crème épilatoire.

-Mais! Que fais- tu?…….

-Ben tu vois! Je m’épile…..

Ce n’était pas vraiment nécessaire……

-Ben si! insista-t-elle,

-toi tu t’en fiches! c’est pour après,

-il n’est pas question que William me voit ainsi………..

Le « pour après » me rappela notre jeu d’échange, et provoqua aussitôt une forte érection qui ne cessa de grandir, lorsque lui demandant de se mettre immédiatement à genoux, je baissais mon pantalon et lui fourrais mon pénis dans la bouche.

Le lent mouvement de sa tête commença d’avant en arrière rythmé par mes mains plongées dans ses cheveux que je serrais fortement, ses lèvres dociles serraient l’extrémité de ma verge, le plaisir grandissant m’entrainait à augmenter davantage la cadence………

J’enfonçais mon membre de plus en plus profondément

dans sa gorge, mes couilles se balançaient, heurtant le dessous de son menton, sa chevelure allait et venait de plus en plus vite, le flou commençait à naître, mes

jambes vacillaient prises d’un léger tremblement.

Je me retirais brutalement, serrais mon membre fortement dans le creux de ma main …….il s’en était fallu de peu que mon sperme ne lui éclabousse l’intérieur de la bouche.

Je m’assieds sur le lit tremblotant.

Elle se releva….

-C’était bon? dit-elle.

Je répondis en hochant la tête.

Elle disparut sous la douche, rincer son sexe couvert de crème.

Elle réapparut la chatte totalement imberbe, le produit était efficace.

Je constatais que ses grandes lèvres étaient gonflées,

et la priais de s’allonger immédiatement sur le lit, cuisses largement ouvertes , jambes pliées, mains sur les genoux,

bouche entr’ouverte.

Elle obtempéra sans attendre, prit la position imposée,

et m’offrit ainsi ,consentante, le jolie spectacle de son intimité exposée sans plus aucune pudeur.

Debout, face à sa soumission et à son entrecuisse offert, je commençais à me masturber lentement……Très lentement.

Elle attendait, sans rien dire, que j’use de son corps comme bon me semblerait.

Ne pouvant plus attendre je m’allongeais sur elle, me

positionnais entre ses cuisses et plongeais rapidement mon gros bâton rigide et durci par l’attente à l’intérieur de son con devenue béant par le désir suscité,

l’attente que j’avais créée……………

Elle eut un petit cri…….

-Mais tu es trempée, petite salope!

Elle ne répondit pas, il lui fallait ne rien dire, et rester

soumise la bouche à demi-close, elle connaissait bien les interdits et le rituel qui nous unissait.

La folle rengaine commença, je la limais doucement puis de plus en plus rapidement, je sentais les contractions de son vagin qui aspirait irrémédiablement ma bite au plus profond de sa vulve sans cesse plus ruisselante de cyprine chaude épaisse et liquoreuse.

Elle grognait………….

Je continuais de la bourrer fortement, elle se tordait de plus en plus, à deux reprises ma queue, bien que longue, fut chassée de son trou trop humide tant elle remuait.

Quand je sentis à nouveau que le foutre allait jaillir,

j’interrompis mon limage.

Je me redressais, sortais de son entrejambe et lui ordonna de se retourner en prenant la position à quatre pattes le cul bien tendu vers l’extérieur.

L’obéissance était là, les années de dressage s’avéraient aujourd’hui efficaces, elle se mit en position……..

Elle savait que je m’apprêtais à l’enculer violemment.

Ce n’était pas ce qu’elle préférait, mais n’ayant jamais eu le courage de le refuser à des amants de passage, elle se devait d’obéir à ma demande.

Je regardais ses fesses, je devinais un peu de fébrilité,

elle n’ignorait pas que j’allais la défoncer avec force et que c’est au plus profond de son cul après l’avoir longtemps bourrer que je lâcherai toute ma chaude et épaisse semence durement contenue depuis le début de nos ébats.

C’est au fond de son trou étroit que je vais m’empresser d’élargir que j’allais enfin jouir d’un orgasme bien

mérité.

J’écartais alors les deux rondeurs de ses fesses pour découvrir son anus.

Elle gémit….

Quel beau réceptacle, le trou brun serré, encore entouré de quelques poils éparses et frisottants s’annonçait prometteur pour une profonde exploration.

-Pousse! …lui ordonnais-je………Plus fort!…….

La rosace toute striée de petits plis convergents vers l’entrée, se gonfla.

Les ridules disparurent, le trou était prêt à accueillir mon gland encore gras de la gluante cyprine recueillie dans le profond de sa vulve.

Tenant les fesses écartées d’une main, je posais mon extrémité sur ce qui était ouvert et prêt à me recevoir.

D’un coup sec, le gland rendu énorme par l’attente, pénétra sans aucune difficulté…….

Elle lâcha un petit cri………….

En réponse, j’enfonçais la totalité de mon dard au plus profond et commençais de violents allers et retours, son cul pourtant pris à sec s’humidifia rapidement.

Je me retirais assez vite, pour contempler la dilatation

de son orifice ………Il mettait un certain temps à se refermer…………

J’attendais qu’il se contracte pour à nouveau le revisiter sans cesse, les retraits successifs et les pénétrations répétées me permettaient de jouir du petit cri qu’elle ne

manquait pas de lâcher à chaque reprise.

Je la bourrais ainsi violemment pendant environ vingt bonnes minutes, à chaque attaque je constatais que les parois anales rougissaient davantage…………

Mon ouvrage terminé, elle aura sûrement, comme à chaque fois, une douce sensation de brûlure pendant quelques heures.

Il était temps pour moi de jouir enfin………

Je déchargeais au fond de son cul en plusieurs saccades

de foutre que je sentais jaillir avec quantité.

Je restais enfoncé quelques instants, ses contractions

serraient mon pénis le vidant de ses dernières gouttes.

Là, c’est moi qui avais poussé un cri……….  

Je me retirais lentement, admirant son anus rougi, un fumet chaud monta à mes narines.

De ce parfum mélangé que l’on ne respire nulle part ailleurs.

Je m’allongeais sur le lit…..Elle aussi.

-Dis-moi merci. lui dis-je ……

-Merci.

-Tu as joui?

-Deux fois. dit-elle.

-Et William?

-Pas ce soir, je n’ai plus envie…………

Nous étions redescendus de la chambre nous asseoir sur le canapé.

Elle avait mit sa robe de chambre, moi aussi.

Une cigarette vite rallumée, la télé aussi, elle termina son verre laissé sur la table une heure plus tôt.

Nous n’avions pas dîné, et la nuit se faisait plus noire.

-Tu as faim? Tu veux que je fasse à manger?

-Oui, ya quoi? lui dis-je.

-Des pâtes, si tu veux…….

-Allons y pour des pâtes.

Elle se leva et alla dans la cuisine.

-Ca cuit. dit-elle en revenant s’asseoir.

-C’est bien, ya quoi avec?

-De la sauce tomate……

-C’est bien aussi……..

-Tu sais ça me chauffe avoua-t-elle…..

-C’est normal…….t’inquiète.

J’avais pris le programme télé, l’avais rapidement parcouru et ce soir là en mangeant nos pâtes nous avons regardé un film diffusé sur la trois « Pretty Woman » …….décidément!

Le film était bon, les pâtes à la tomate, sur lesquelles elle avait rajouté du gruyère râpé, aussi.

La nuit allait être bonne, le sommeil nous enveloppa lentement, je m’endormis la main posée sur son sein.

 

CHAPITRE 2

Le radio réveil se mit en marche, me faisant sursauter

et oublier aussitôt les rêves qui m’avaient accompagné

une partie de la nuit, sensation toujours un peu désagréable de quitter, sans souvenir, un monde dans lequel on se sentait bien.

Les chiffres rouges affichaient 06:32.

J’entendis le son grandissant et disparaissant des voitures qui passaient sous ma fenêtre, ils y en a qui prennent tôt, pensais-je…..

 

Elle se réveilla, me dit bonjour……

 

-T’as bien dormi?

 

-Oui! Et toi?

 

-Oui, je crois………Il est quelle heure?

 

-Six heures et demi passé.

 

-Ah! Déjà…

 

Elle s’étira, se leva et se dirigea vers les toilettes.

 

Elle dormait nue, moi aussi, je la regardais quittant la

 

chambre, son corps totalement dévêtu me rappela nos ébats de la veille, sans l’obligation de me rendre à mon travail.

 

Je l’aurais volontiers baisé ce matin.

 

Ma tête était prête, ma queue aussi.

 

Pas le temps, je fonçais sous la douche, mis ma robe de chambre et descendis quatre à quatre l’escalier.

 

Elle m’avait précédé, le café était chaud, servi dans mon mazagran habituel.

 

Le sien aussi.

 

Elle s’était rapidement habillée, jean et pull de laine noire, avant que je ne parte travailler, elle courait chaque matin au tabac voisin acheter mon journal et des cigarettes.

 

Elle ferait sa toilette après, elle ne travaillait plus depuis quelques mois, l’entreprise qui l’employait avait déposé le bilan suite à la grande crise de 2013.

 

C’était pourtant une entreprise qui en son temps était sur un créneau porteur, méchamment porteur.

 

Je parcourais rapidement le canard, les gros titres, l’éditorial, la rubrique nécrologique.

 

- Tiens! Machin est mort…….. 

 

Je le délaissais vite, les nouvelles n’étaient jamais bonnes.

 

Je remontais dans la chambre m’habiller à toute vitesse.

 

J’avalais d’un trait le second café qu’elle me servait.

 

-Sept heures trente.…Il faut que je fonce…… 

 

-Tu sais; me dit- elle, esquissant un sourire,

 

- je le sens!…..

 

-Tu sens quoi?

 

-Ben!…..mon anus……… 

 

J’étais satisfait, elle ressentirait, tant je l’avais limé, ma

 

présence tout au long de la journée.

 

Je partais, sans au préalable, lui avoir demandé de baisser son jean, je lui passais mon index dans la chatte et en

 

récoltais une parcelle d’humidité que je portais aussitôt à mes narines, j’inspirais fortement sa forte odeur matinale, je l’embrassais sur les lèvres, franchissais la porte et m’installais au volant.

 

J’avais une trentaine de kilomètres à parcourir pour

 

rejoindre mon bureau, je plaçais à plusieurs reprises mon

 

doigt sous ma narine durant le trajet.

 

Au volant, il était interdit de boire, de téléphoner, pas encore de sentir…….

 

Ce matin- là, vingt cinq minutes plus tard, lorsque je franchis le portail du parking de mon entreprise, mon doigt était encore imprégné du parfum de son odorante intimité.

 

Corinne ma secrétaire, était déjà arrivée, elle était toujours la première au bureau, sa voiture toujours garée au même emplacement.

 

Les rares fois, qu’il lui était arrivé d’être en retard ou absente, étaient toujours dues au mauvais état de santé de l’un de ses deux enfants.

 

C’était une jeune femme,que la trentaine passée et ses deux grossesses successives avaient relativement bien conservée, en oubliant toutefois d’avoir épargné ses hanches.

 

Physiquement, elle ne me plaisait pas, le cul devenu trop large, des seins à mon goût anormalement gros, une coiffure d’un autre siècle, désespérément entourée d’un ruban de faible largeur dont la couleur variait chaque jour.

 

On m’ avait rapporté que certains clients l’appelaient « Arc-en-ciel »

 

Petite, elle donnait l’impression d’avoir mal grandie et

 

avait cette particularité, qui m’étonnait toujours, elle n’était pas plus grande debout que assise……Il est vrai que son siège réglable n’acceptait plus un tour de vis supplémentaire dans le sens de la hauteur.

 

Bref, la terre peuplée de Corinne, le mot sensualité n’eut

 

probablement jamais existé, la survie de l’espèce oui, elle en était avec son mari et ses enfants l’indéniable preuve.

 

Professionnellement, je dirais que c’était l’inverse de son apparence ….une perle……..Rare peut être! Comme ses yeux d’un joli bleu, que mon collaborateur et moi envisagions, en plaisantant, de déposer dans une petite assiette afin de ne conserver d’elle que ce qu’il y avait de beau.

 

Mon associé et mon autre collaborateur arrivaient en même temps sur le parking, alors que Corinne et moi

 

prenions notre rituel café de mise en route matinale.

 

A cet instant sacré, bien que l’heure fut sonnée, le téléphone pouvait carillonner, nul ne répondait.

 

Les retardataires se joignirent à nous, racontant chacun et succinctement les évènements de leurs soirées respectives, sauf moi, qui me permis tout de même un rapide condensé de Pretty Woman que personne n’avait vu, exceptée Corinne, laquelle encore toute excitée s’identifia subitement à Julia Roberts, ce qui forcément écourta la discussion car nous connaissions tous Julia Roberts…et Corinne, et nous les hommes avions le même regard sur l’une et sur l’autre.

 

Je sentais mon doigt, le parfum avait disparu.

 

Chacun prit sa place pour enfin se mettre au travail, sauf comme à son habitude, mon associé qui partit mettre à la poste le courrier qu’il avait oublié d’emporter la veille.

 

Il y allait toujours à pieds, c’était un « marcheur chasseur »  il est vrai que la poste n’était qu’à trois cents mètres du bureau, distance justifiante pour user de ce moyen de locomotion très écologique.

 

Ce qui est toujours demeuré mystérieux dans cette aventure pédestre quasi quotidienne c’est l’adéquation impossible entre la distance, la tâche, et la durée du déplacement……..

 

Une heure et demi, voire deux heures! … Au retour de cette absence plus longue, la justification était sempiternellement la même, « J’ai rencontré untel » suivie d’une oiseuse anecdote, qui ne faisait rire que lui, c’est là , précisément que le marcheur redevenait « chasseur » car il était vraiment chasseur,

 

chasseur avec un fusil……..Un vrai!

 

Il était en fait atteint d’illettrisme, il écrivait le poêle

 

à chauffer « poil » et le mot Architecte « archithèque »

 

Je ne m’étais bien sur aperçu de ses tares ataviques qu’après notre association.

 

Il avait à une époque obtenu des résultats dans son travail car il avait la « Tchatche » mais suite à son divorce et un certain confort financier, il s’était laissé aller.

 

Beaucoup pensaient qu’il avait peut-être une maladie au cerveau tant celui-ci s’était ramolli.

 

La dernière aventure qui l’avait achevé, était

 

du au fait qu’il s’était fait larguer comme le minable qu’il était, par une jeune femme rencontrée après sa séparation.

 

Cette jeune femme intelligente, elle-même divorcée, avait cru rencontrer l’âme sœur mais s’était rapidement aperçue qu’il avait un petit poids dans la tête.

 

De plus elle me confiait qu’il baisait très mal et qu’en cela elle regrettait presque son ex-mari.

 

Suite à cette mésaventure, qui achevait les rares neurones errant dans sa cervelle décomposée, il devint un peu méchant ou plutôt pervers, essayant de faire des vacheries aux autres.

 

Notamment à cette délicieuse jeune femme, en lui cherchant des querelles d’ordres financières.

 

Il était aigri, incapable de faire un effort pour se cultiver, il resterait le Béotien qu’il avait toujours été.

 

L’activité de mon entreprise était basée sur la Maîtrise d’œuvre.

 

Conception, réalisation de projets, suivi des travaux auprès d’une clientèle Maitre d’Ouvrage toujours et sans cesse de plus en plus exigeante.

 

Cette journée amena son lot quotidien de clients souvent ignorant de la profession et ayant des exigences frisant la pathologie.

 

Les rendez-vous se succédèrent, correctement gérés par le calendrier de Corinne.

 

Entre les clients et les intermèdes cafés, la journée passa assez vite, nous étions un vendredi et ce jour-là il avait été décidé depuis quelque temps d’assurer la fermeture à dix sept heures.

 

Dix sept heures dix, je suis au volant, dans trente minutes je suis rentré et demain, le bureau reste fermé.

 

Je parcours la route sans encombre, les automobilistes roulent à bonne allure mais sans excès, ils ont envie de passer un bon week-end, il est vrai que les radars mobiles souvent présents sur cette axe fréquenté incitent à lever le pied.

 

Sur une radio locale on diffuse des vieux tubes des années soixante, c’est plutôt agréable, et évocateur de vieux souvenirs….. «  I read the news to day oh boy! and the news was rather sad . » déjà, triste à l’époque ………pensais-je…en écoutant nostalgique, les Beattles que le DJ avait décidé de passer en boucle.

 

Le paysage, je le connaissais par cœur, des champs, des prés, quelques vieilles fermes grises vétustes et sans date, semblaient abandonnées, seules les cheminées de pierre au couronnement noirci d’où s’élevait une fumée blanchâtre, indiquaient le contraire.

 

Je garai ma voiture le long du trottoir, juste devant la maison.

 

 

 

CHAPITRE 3

 

 

 

Ce que j’aperçus immédiatement, stationnée sur le petit parking jouxtant la propriété voisine, c’est la petite Fiat blanche de William.

 

Je regardais l’horloge du tableau de bord, dix sept heures trente huit, je n’étais pas en retard.

 

Il était bien là, assis dans un fauteuil, faisant face à ma femme.

 

Il se leva.

 

-Bonsoir! me lança t’il.

 

-Salut! ….tu vas bien? Il y a longtemps que l’on ne t’a pas vu.  

 

-Ben….oui! lâcha t’ il l’ air un peu géné.

 

-Je passais pas loin, alors, je me suis dit…..tiens! Je passerais bien vous voir.

 

-T’as raison!….T’as eu raison!… 

 

Carole avait allumé la cheminée, l’ambiance était chaleureuse.

 

William était très jeune, vingt-cinq, vingt-six peut- être

 

et plutôt beau gosse, pas vraiment le type cérébral……

 

Plutôt athlétique, du genre qui plaît bien aux femmes, de ceux sur lesquels elles se retournent volontiers en les croisant dans la rue.

 

Il avait surtout un gros avantage entre les jambes et beaucoup d’endurance quand il était à l’œuvre, je l’avais déjà vu pratiquer sur ma femme, il l’avait copieusement labouré pendant plus de deux heures dans toutes les positions.

 

Ce qui lui manquait peut-être c’est un peu d’imagination, je ne lui en demandais pas, j’en avais pour deux.

 

Carole était assisse dans le canapé, souriante, elle avait revêtu une robe courte à col ras, très près du corps lui prenant bien les seins, je la lui avais offerte lors d’un séjour en Italie, elle la portait rarement, pourtant je l’ aimais bien, l’avantage majeur était la fermeture éclair qui courait devant du haut en bas.

 

C’était ce qu’on pouvait appeler une robe de circonstance et Carole savait y faire en ce domaine.

 

Devant un verre, puis deux, la discussion allait d’une banalité à une autre…….

 

Carole proposa à William de dîner avec nous, il accepta.

 

Elle prépara rapidement un repas sous la forme d’une assiette anglaise accompagné d’un excellent Bordeaux vieilli en fût de chêne.

 

Le repas se prolongea jusqu’à vingt deux heures environ, scandé par des chansons que chacun à notre tour nous allions chercher sur You Tube.

 

Je quittais la table et grimpais à l’étage prendre une douche.

 

En regagnant le salon je vis que notre invité s’était installé sur le canapé près de Carole ….Très près…….

 

Il eu un petit mouvement de recul……

 

-Non reste!  lui dit Carole …. mon mari n’attend que ça! 

 

En effet j’attendais.

 

Il avait glissé sa main sous sa robe et lui caressait la cuisse………..elle me regarda……..Ses yeux brillaient.

 

Je remarquais une belle rondeur sous le jean de notre hôte…..Il bandait, moi aussi.

 

Je remis une bûche dans la cheminée le feu se mit à crépiter, nous enveloppant d’une douce chaleur ambiante.

 

-Lève toi! ordonnais- je à Carole.

 

Elle se leva.

 

-William, retire lui sa robe! 

 

Sans difficulté il fit glisser rapidement la fermeture éclair, son corps apparût dans presque toute sa nudité

 

la robe à ses pieds, elle n’était plus vêtue que d’un slip blanc collant montrant sans pudeur le renflement de ses lèvres gonflées.   

 

-Approche toi! lui dis je.

 

-Ecarte! 

 

Je passais mes doigts sur le renflement , sa mouille traversait déjà son slip………

 

-A genoux!……..Suce notre invité… 

 

William avait retiré son pantalon et baissé son slip, sa queue déjà énorme et toute tendue promettait une bonne défonce ………

 

Je ne me souvenais pas qu’elle était aussi longue, elle aurait demain sûrement encore très mal au cul.

 

Entre ses lèvres elle commença la lente succion,

 

consciencieusement elle suçait, suçait encore, enfonçant le membre profondément dans sa gorge, serrant légèrement comme je le lui avais enseigné.

 

William, gémissait.

 

- Elle suce comme une reine!… dit- il.

 

- Elle recrache ? 

 

- Non! 

 

Je me masturbais en regardant ce divin spectacle,

 

me régalant des bruits visqueux de sa bouche glissant sur le gros pénis, le glissement se faisait de plus en plus rapide, ma main me branlait de plus en plus vite ………..

 

Quand un grognement….!!!

 

William venait de lui cracher tout son foutre à l’intérieur de la bouche …..Elle eut un gloussement…Comme un acre renvoi ….fit une grimace et je vis aux mouvements de sa mâchoire et de sa gorge qu’elle déglutissait, s’appliquant comme enseigné, à avaler tout le gluant et abondant liquide chaud qui venait de sortir en de nombreux spasmes des couilles de notre invité.

 

Il n’avait pas pu se retenir …….

 

Peu importe il allait vite se recharger.

 

-Viens là!  lui dis je…..

 

- Met toi en levrette!… 

 

Elle obéit aussitôt, je lui baissais son slip, le fond jauni était trempé.

 

Je pris position derrière sa croupe, lui demandais de la tendre et l’introduisais brutalement, elle était fortement mouillée, en quelques violents coups de reins, à mon tour je déchargeais rapidement au plus profond de sa chatte.

 

Elle se releva, remonta son slip humide, et vint se rasseoir sur le canapé.

 

Je lui demandais d’ouvrir la bouche, elle avait encore quelques fils blancs de sperme sur la langue.

 

Elle la racla et avala les restes.

 

On décidait de finir la soirée dans notre chambre, le lit était assez large et William avait accepté de passer la nuit avec nous.

 

Nous étions entièrement dévêtus….

 

Le variateur de lumière des lampes de chevet permettait de plonger la chambre dans une très légère pénombre propice à nos futurs ébats.

 

Elle, allongée entre nous deux, s’empressa de nous caresser les couilles………Ce qui forcément eut pour rapide conséquence de faire gonfler nos vis.

 

William se retourna rapidement, se coucha sur elle l’introduisit et commença à la besogner, lentement au début puis de plus en plus rapidement……

 

Elle croisa ses jambes autour de ses reins, lui empêchant tout retrait, puis se mit à grogner émettant de sourds gémissements.

 

Elle jouissait.

 

Je me mis à genoux, lui empoignais les cheveux et lui fourrais ma queue dans la bouche.

 

Bien que secouée par les coups de boutoir elle parvenait à animer sa tête, légèrement penchée, pour me sucer correctement.

 

Vingt minutes passèrent………

 

Elle grognait de plus en plus fort……..

 

Soudain ! elle poussa des cris étouffés, elle était en train d’avoir un violent orgasme.

 

J’en profitais pour décharger……Enfonçant un peu plus ma tige dans sa gorge, supposant à juste titre, que William venait simultanément de lui inonder la vulve.

 

- C’est bon le foutre? lui demandais-je.

 

Elle hocha la tête.

 

Nous avions joui tous ensemble au même moment.

 

Elle réclama une serviette, et essuya lentement son entrecuisse collante, enlevant partiellement le liquide encore chaud qui ne cessait de couler de sa fente élargie.

 

Elle n’alluma pas de cigarette, moi non plus ,nous ne fumions jamais dans la chambre.

 

William se leva, descendit l’escalier, alla fumer une cigarette dans le salon.

 

Quand il revint, nous somnolions étendus sur le dos,

 

le drap remonté à mi jambes.

 

Il reprit sa place auprès d’elle.

 

On restait ainsi de longues minutes, sans rien dire,

 

le temps s’était comme immobilisé durant ces instants.

 

Les chiffres rouges indiquaient

00:24.

 

Je m’étais endormi depuis peu, quand, réveillé par un bercement un peu brutal, j’ouvrais les yeux et aperçus

 

William à genoux derrière Carole mise en position de la

 

levrette, les seins se balançaient, scandés par les coups alternés qu’il lui infligeait sans ménagement.

 

Je pensais d’abord qu’il la baisait à nouveau….

 

Lui posant la question, il me dit qu’il avait choisi de la sodomiser, précisant, sans s’interrompre, que le trou contracté lui serrait davantage la verge et lui paraissait plus profond que la vulve.

 

Sans doute avait- il raison.

 

- Elle est vraiment bonne! ……ajouta-t-il…Sans cesser de la limer………

 

- Augmente la cadence! ordonnais -je, il obéit aussitôt et redoublant d’effort il la défonça de plus en plus vite.

 

Il continua ainsi, sans pose, sans même un perceptible ralentissement pendant plus de quinze minutes.

 

Le visage de Carole était crispée, les parois de son cul devaient lui brûler terriblement, cette fois encore elle avait été prise à sec.

 

J’avais grande hâte d’aller admirer sa rosace ouverte, fumante et rougie par cette longue chevauchée.

 

Je demandais à Carole d’exprimer son contentement à haute voix……….

 

- J’aime ça! grommela-t-elle ……Avec me sembla-t-il, une douloureuse difficulté………..

 

- Plus fort!  insistais-je…….On ne t’entend pas.

 

- J’AIME çaaa ahh!!! »…..

 

L’expression de son contentement amena William à pousser un râle, en la remplissant copieusement.

 

Il se retira vite de l’étroit fourreau et la retournant, lui demanda de nettoyer avec la bouche son membre souillé.

 

Le nettoyage d’abord refusé, fut obligé, rapide et efficace, nul trace ne subsistait sur le gland brillant encore tout gonflé de l’épreuve qu’il venait de subir.

 

- La salope! ………dit-il, l’air satisfait.

 

Je m’empressais d’aller regarder son anus, il ne s’était pas complètement refermé, il en suintait du foutre qui ne cessait de couler, il était bien rougi……..il se rétracta lentement………et repris non sans quelques spasmes son diamètre initial.

 

- Tu es prête? lui dis- je……

 

- Tu ne vas pas m’enculer? dit- elle l’air douloureusement inquiète.

 

- Non ! Moi je vais te baiser par le vagin.

 

Elle parut rassurée tandis que je me mis frénétiquement à la chevaucher, en missionnaire, durant encore de longues minutes.

 

Le foutre l’inonda à nouveau, elle eut un orgasme rare, qui provoqua chez elle un fou rire nerveux inoubliable,

 

qui résonna longtemps à mes oreilles.

 

01:40

 

……Affichait le radio réveil.

J’éteignais la lumière, le travail accompli, un sommeil bien mérité nous enveloppa tous les trois.

 

On se réveillait le lendemain aux alentours de neuf heures, c’était samedi et rien ne pressait.

 

En regardant son corps nu, ses seins dressés, je bandais déjà, William aussi.

 

On lui demanda alors, avant d’aller déjeuner, de nous faire une fellation.

 

Un peu boudeuse, elle demanda par lequel commencer…..

 

- Toujours l’invité! lui dis-je.

 

Elle s’empressa de décalotter le pénis de William et le suça tant et si bien qu’il lui cracha en peu de minutes une forte giclée de bon foutre matinal.

 

Il se leva satisfait en toute apparence de ce bon réveil.

 

Je pris le relais, lui ayant avant passé la main sur la coche

 

encore très grasse des pénétrations de la veille.

 

Je reniflais mes doigts imprégnés, le mélange de sperme et de cyprine maintenus au chaud toute la nuit à l’intérieur de son con se révéla un parfum subtil qui encouragea mon érection.

 

Sa bouche, encore humide de la précédente éjaculation

 

engloutit mon nœud bandant.

 

Quatre minutes suffirent, et elle reçut la seconde abondante giclée de la journée.

 

Elle m’avoua que le goût était différent, sans pouvoir dire lequel elle préférait.

 

On se levait enfin pour le petit déjeuner.

 

Je décidais de prolonger l’état d’excitation dans lequel nous étions plongés depuis la veille.

 

Elle préparait le café et, glissant un billet à William, je l’envoyais chercher des croissants à la boulangerie voisine.

 

Quand il revint encombré des chaudes pâtisseries, il fut à peine surpris de la voir entièrement nue à genoux aux pieds de la table, préalablement servie par ses soins.

 

Elle devrait assister, soumise, à la prise de notre petit déjeuner, les mains dans le dos, les épaules bien en arrière les seins tendus la bouche entr’ouverte et les yeux baissés, sans bouger ni dire un mot et se tenir prête à toute exigences que nous pourrions lui soumettre.

 

Elle prendrait son café après.

 

Nous dégustions le nôtre tout en bavardant, échangeant nos impressions sur son comportement évoquant tantôt à quel point elle mouillait tantôt portant des avis sur l’avantage qu’il y avait à l’enculer à sec plutôt que de la fourrer par le vagin.

 

Nos points de vues ne divergeaient guère, nous étions en accord sur la plupart des points évoqués.

 

Elle ne bougeait pas, sa soumission était parfaite.

 

Las de nos discussions je proposais à William qu’elle le suce à nouveau, il fit une petite moue et me dit qu’il préférait l’enculer tout de suite.

 

Ce qui immédiatement fut mis en place, à même le sol.

 

Je lui ordonnais le quatre pattes, elle semblait soulager de pouvoir enfin bouger, elle était à genoux depuis près d’une demi heure et ses jambes devaient être ankylosées.

 

- Je la prends encore à sec?  demanda-t-il.

 

- Oui! 

 

Elle fit alors une petite grimace de mécontentement….

 

Son cul devait encore ressentir les assauts de la veille.

 

Je me proposais avant qu’il ne l’enfourche de visiter son anus, j’y glissais un doigt et l’enfonçais, le trou était chaud et très peu mouillé, elle tordit son fessier la sensibilité provoquée par les échauffements étaient bien réelle.

 

- Tu peux y aller William, force d’un coup sec car elle n’est pas humidifiée………. .

 

Quand le gland la traversa elle poussa un cri, la sensation de brûlure était soudain réactivée.

 

Il la poussa à coups de reins jusque sous la table où mes couilles pendantes attendaient d’être soigneusement léchées puis sucées.

 

Le quart d’heure passa vite, je me branlais et finis par un puissant éjaculat qui lui barbouilla le visage et une partie des cheveux.

 

William se retira en même temps il avait décidé de cracher toute son épaisse sauce sur son dos.

 

Elle était à quatre pattes couverte de jus.

 

- Elle est dégueulasse! ainsi couverte de crème; dit William.

 

Il avait raison.

 

Je lui ordonnais, en la traitant de petite salope négligée,

 

d’aller immédiatement prendre une douche et de bien nettoyer ses intimités que nous avions l’intention encore de visiter au cours de la journée.

 

Son café attendrait.

 

Elle montait dans la salle de bains.

 

- Tu as oublié de dire merci! 

 

- Merci ! dit-elle, les yeux baissés.

 

Je demandais à William d’aller dans la cour chercher deux ou trois bûches, un petit feu nous ferait du bien.

 

Dehors le ciel était sombre, c’était un samedi à rester couché.

 

L’âtre s’enflamma très vite, diffusant rapidement une agréable chaleur mêlée de la virile senteur du bois qui se consume.

 

Lavée, elle prenait son café bien mérité, j’avais réchauffé

 

ses croissants au micro-ondes.

 

Posés sur le canapé, on la regardait en fumant une cigarette, elle avait l’air d’apprécier ce moment de répit.

 

J’avais allumé la télé, le son était coupé je me contentais

 

du défilement de la bande annonce au bas de l’écran, qui égrainait les dernières nouvelles.

 

Dix heures trente à l’horloge.

 

Il allait falloir se préoccuper du repas de midi, et peut être aller faire quelques courses.

 

Nous étions tous habillés et notre douche était prise, seule Carole était encore en robe de chambre………

 

-Va t’habiller! lui dis-je, nous avons peut-être des courses à faire.

 

- Je mets quoi? 

 

- Une robe si tu veux…..Ou une jupe avec un pull. 

 

- Pas de pantalon! je souhaite que tu restes facilement accessible sans te déshabiller entièrement,

 

pas de culotte non plus!……..Pour la même raison… 

 

Elle s’habilla rapidement, on décidait de faire les emplettes tous ensemble, une petite sortie et un bol d’air bien frais nous feraient du bien.

 

Le supermarché était à cinq minutes en voiture.

 

Avant de sortir je demandais à Carole de remonter sa jupe face à William …….Il me regarda, hocha la tête me confirmant son obéissance…. .

 

- la chatte à l’air! me dit-il.

 

Je pris le volant, à ma surprise il s’installait à l’arrière à coté de Carole ……

 

- Ben! Vous faites quoi? 

 

- C’est pour la maintenir en état….Je vais la branler un peu le temps du trajet. 

 

Ce qu’il fit.

 

Sur le parking, elle me demanda un kleenex avant de sortir de la voiture, sa mouille avait abondamment coulé

 

entre ses cuisses.

 

William lui, choisit de plonger ses doigts dans la bouche de Carole pour les nettoyer.

 

Un caddie, pas de jeton comme d’habitude, une pièce retrouvée dans le vide poche et nous voilà dans le magasin.

 

Midi moins le quart, nous étions rentrés, Carole rangea les courses, pendant que nous servions l’apéritif.

 

Elle nous rejoignait vite, s’installa avec nous sans avoir oublié de remettre une bûche.

 

La chaleur était douce, cela faisait du bien, dehors il faisait vraiment très frais.

 

On trinquait, à nos santés respectives et en plaisantant à toutes les cochonneries que nous lui promettions de lui faire après le repas.

 

Ça n’avait pas l’air de l’inquiéter bien que je remarquais qu’elle n’était assise que sur une fesse et qu’elle alternait souvent sa position.

 

Elle aurait mal au cul, que je ne serais pas étonné.

 

Elle se leva………

 

- Je vais mettre le poulet au four…… 

 

Elle se dirigea vers la cuisine…… Songeurs, on regardait le balancement de sa croupe.

 

Une heure passait…..Plusieurs apéros aussi, non sans grignoter quelques amuse-bouche.

 

La volaille enfin rôtie on passait à table, l’odeur dégagée par la cuisson nous avait mis en appétit.

 

- Qui veut un café? 

 

Ils prirent un café, moi aussi.

 

Une petite sieste allait maintenant être nécessaire, nos couilles vidées tôt le matin étaient pleines à nouveau.

 

Je demandais à Carole de débarrasser la table et de faire rapidement la vaisselle pendant que William et moi allions réchauffer le lit.

 

Je récupérais dans le tiroir de l’armoire de toilette un petit coupe ongles et un tube de vaseline abandonné là depuis longtemps.

 

Non pas pour lui éviter des pénétrations à sec, mais j’expliquais à William que j’allais lui demander de me masser la prostate directement par l’anus, la vaseline c’était pour moi, enfin pour nous, car je lui promettais qu’elle travaillerait sur nous deux.

 

- Ça je connais pas!  dit-il……….

 

Je lui expliquais qu’elle devrait auparavant nous lécher et nous sucer le cul.

 

Il parût intéressé.

 

Nous attendions nus sur le lit.

 

Elle montait l’escalier et entrait dans la chambre……

 

Elle se mit à poils.

 

- Mm ! dit- elle, en nous voyant la queue déjà dressée.

 

Je lui pris la main et lui coupais les ongles trop longs, elle avait l’air de se demander pourquoi.

 

Je lui expliquais sa mission, elle semblait rassurée de ne pas se faire enculer immédiatement.

 

Je me mis à genoux, elle entamait le léchage, crachotant de temps en temps les miasmes collés par la sueur et les secrétions de la journée.

 

Le nettoyage terminé, elle prit le tube et enduisit mon anus, elle rentrait le doigt et commençait le frottement en de lents va et vient.

 

Le plaisir était envahissant.

 

Il n’était pas facile de se masturber dans cette position, aussi, je préférais m’allonger sur le côté afin de pouvoir

 

secouer vigoureusement ma queue.

 

Je ne tardais pas à éjaculer, malheureusement dans le drap, elle n’aurait pas cette fois l’honneur de boire mon foutre.

 

Notre invité eut l’air épaté par sa performance.

 

Il prit la même position, et elle recommença sur lui le lent et soigneux léchage de son cul et alla méthodiquement jusqu’au bout de son travail.

 

Il termina comme moi, assez rapidement, le jus dans les draps.

 

Nos couilles vidées, on décidait de s’assoupir un peu.

 

On s’endormait, Carole aussi.

 

On avait dormi près de deux heures.

 

Il était déjà dix sept heures et son cul n’avait pas été fourré depuis tôt le matin.

 

Sans utiliser la vaseline, William à peine réveillé, lui demanda de se retourner, et se mettant à califourchon,

 

l’encula sans mot dire, il la défonçait brutalement

 

durant plus de vingt minutes, j’étais étonné par sa performance et le regardais faire sans rien dire.

 

Après avoir aspergé le trou, je pris le relais……..

 

Son cul était tellement rempli de foutre et élargi que je ne ressentais aucun serrement sur ma verge, seulement l’impression un peu vague de baiser un pot de yaourt.

 

Je jouissais vite, la remplissant encore un peu davantage.

 

Six heures allaient bientôt s’afficher, il commençait dehors à faire sombre, elle n’avait pas joui on décidait d’attendre un peu avant de la fourrer à nouveau.

 

On lui demandait de se mettre à quatre pattes, les cuisses écartées, pour se régaler de voir sortir de son anus tout le foutre que nous lui avions injecté.

 

Le spectacle, rare, était remarquable, par quatre jets successifs et des gargouillis bruyants, elle lâchait la laiteuse semence mélangée de filets brunâtres qui dégoulinait le long de ses cuisses.

 

Nous étions satisfaits de lui avoir rempli le tréfonds à ce point.

 

- Elle est vraiment salope!  dit William.

 

On l’envoya se laver avant qu’elle ne tache les draps, déjà salis par nos semences, et décidions d’un accord commun de cesser de la fourrer par l’anus, estimant qu’il fallait qu’il se repose un peu et nous aussi d’ailleurs.

 

Pendant ses ablutions, on s’était relevés et rhabillés et étions à nouveau, un peu vautrés dans le canapé en train de fumer et de regarder les infos sur une chaine les diffusant non stop.

 

Elle descendait l’escalier, on éteignait nos clopes.

 

- ça va ?  lui demandais-je….

 

- oui ! Mais de grâce, faites moi ce que vous voulez mais épargnez un peu mon cul……..Il me brûle! 

 

Elle avouait enfin la douleur ressentie et donnait ainsi une ouverture sur d’autres traitements qu’elle pourrait subir.

 

Après l’apéritif, on décidait de manger un peu, les restes du poulet froid, avec un peu de mayonnaise s’avéraient alors suffisants pour nous rassasier.

 

Il était vingt heures, nous étions tous un peu fatigués et après un café, William s’apprêtait à partir.

 

Demain, c’était dimanche, et il avait rendez-vous chez ses parents, il leur avait promis d’arriver même tard dans la soirée.

 

On se quittait donc sagement ce samedi soir, se promettant de se recontacter assez vite, la petite Fiat phares allumés quittait le parking et disparût en quelques secondes au bout de la rue.

 

 

CHAPITRE 4

 

 

 

Carole alla s’asseoir dans le canapé, elle paraissait rassurée de ne pas avoir à se remettre au travail.

 

Je la félicitais de son comportement, elle n’avait pas fait la mijaurée et s’était conduite en excellente soumise,

 

ayant exécuté toutes les taches sans rechigner.

 

Je lui promettais donc de la récompenser.

 

Il était presque vingt et une heures, rien de passionnant sur les programmes télé rapidement parcourus, on décidait d’aller se coucher.

 

Au lit, je lui rappelais qu’elle n’avait pas eu d’orgasme au cours des dernières pénétrations, que demain c’était dimanche et qu’avant de dormir j’exigeais qu’elle prenne son pied, garantie pour elle d’une bonne nuit de sommeil.

 

Sans rechigner, sur le dos, elle commença à se caresser avec la main ………..

 

Elle prenait son temps, et commençait à gémir, ondulant le bassin après quelques minutes de frottement.

 

Je lui demandais de prendre dans le tiroir de son chevet

 

son plus gros vibromasseur, elle en avait plusieurs à sa disposition.

 

Elle obéissait de suite, et le sourd bourdonnement du moteur se mêla à ses râles qui allaient grandissant.

 

J’étais sous le charme du spectacle qu’elle m’offrait et me mis à genoux sur le lit pour mieux contempler sa chatte qui apparaissait et disparaissait derrière l’énorme Godemiché.

 

- Enfonce le! lui dis je ……. 

 

J’avais placé deux doigts sur son anus encore gras,

 

et les enfonçais d’un coup sec et à fond en même temps qu’elle son gros outil.

 

Elle poussait un cri……..

 

Puis secouée de quelques brèves convulsions, elle lâchait l’objet qui ressortit seul de son vagin, lentement et tout gluant de ses sécrétions.

 

Elle venait de jouir fortement, je lui fis sucer mes doigts

 

humidifiés et salis.

 

 

22:00

 

, on s’endormait pour une longue nuit, en pensant chacun aux doux rêves qui allaient certainement nous accompagner durant notre sommeil.

Le lendemain matin, on se réveillait vers neuf heures, on avait dormi onze heures……

 

Sans attendre, je lui demandais de se mettre en position

 

à genoux et de me lécher les testicules………

 

C’ était devenu un rituel, elle savait que c’était son premier travail de la journée, çà renforçait mon érection

 

et lui permettait d’être pratiquement tous les matins correctement fourrée par une tige bien durcie.

 

Elle devait, dans cette position, toujours écarter les genoux afin que dans le miroir de notre chambre, je puisse contempler sa vulve matinale.

 

Elle était ce matin un peu gonflée, je décidais donc de la besogner de suite ……….

 

J’éjaculais vite, sans la faire jouir, et lui demandais d’aller préparer le café.

 

Après notre petit-déjeuner, récompense promise,

 

récompense due.

 

Une balade à St Malo, un restaurant de fruits de mer, le tour des remparts à pied, avec un pull et un chaud manteau…..voilà ce qui la séduisit aussitôt.

 

On était à trente minutes en roulant tranquillement,

 

On avait pris notre temps pour se préparer et arrivait aux environs de onze heures trente.

 

La journée fut vraiment agréable, elle l’apprécia beaucoup.

 

Il n’avait pas fait très chaud tout au long de ce dimanche mais les fruits des mers étaient succulents, accompagnés d’un Chablis à bonne température qui nous avait un peu euphorisés.

 

La promenade nous amena devant des vitrines de magasins ouverts et j’offrais à Carole une petite robe de saison.

 

Après avoir déambuler pendant quelques heures dans les belles rues de la cité, entrecoupées d’arrêts dans des bars ouverts où nous rentrions tant pour nous réchauffer que pour boire un café, on décidait de rentrer, prenant la route de la côte et regardant la mer grisée par un ciel couvert.

 

A vingt heures, nous étions chez nous.

 

On allumait un feu, se rappelait notre après midi, tout en dégustant un digestif, lui aussi réchauffant.

 

On allait se coucher sans manger, le plateau de fruits de mer avait été vraiment copieux comme l’avait été le week-end.

 

Je travaillais le lendemain, mon emploi du temps était chargé, je songeais à Corinne………

 

Avant de dormir, j’expliquais à Carole son programme sexuel du début de la semaine, quant au reste surtout fait de multiples taches ménagères, elle le gérait seule.

 

Elle devrait toute la semaine et chaque jour porter un string de couleur sombre, et me le présenter dès mon retour afin que je puisse constater l’état de ses pertes déposées sur le fond.

 

Ceci me permettrait de mesurer son état d’excitation durant la journée et de contrôler une éventuelle visite.

 

Une visite de son intimité non autorisée lui vaudrait une punition sévère.

 

En revanche une imposition de visite voulue par moi et en mon absence était obligatoirement respectée sous peine du même châtiment.

 

Je lui imposais pour ce lundi après midi, de faire en sorte que le soir même je puisse constater des pertes abondantes et surtout des restes de foutre imbibant le fond de son slip.

 

Elle était surprise ……

 

- Mais comment!……Euh! Comment faire? dit-elle.

 

Je lui demandais de se débrouiller comme bon lui semblerait mais qu’elle devait obéir et craindre les sanctions en cas de non respect à ma demande.

 

-  Mais! William n’est pas par là…… 

 

Je le savais, justement, et lui expliquais qu’il ne s’agissait pas de notre invité de la veille, mais qu’elle devrait se faire fourrer par un inconnu.

 

Je lui expliquais, que courte vêtue une jolie femme faisant du stop pouvait aisément se faire tirer par le premier venu, et que de toute façon elle n’avait pas à discuter mais seulement à obéir et ce, dans son intérêt.

 

Elle me demandait alors qu’ elle était la punition en cas de refus. Je lui rappelais brièvement quelques séances de bondage durant lesquelles elle avait souffert des coups de martinet, dont elle porta les traces plusieurs jours.

 

-J’obéirais, dit elle.

 

Avant de dormir je lui demandais de me vider les couilles

 

en me suçant le membre…………..Ce qu’elle fit longuement avec application.

 

Elle avalait la liqueur blanchâtre, déglutissant , pas une goutte ne fut perdue.

 

Moi, je m’endormais presque aussitôt je crois qu’elle aussi.

 

Le lendemain matin je partais tôt, j’avais un rendez vous en première heure à mon bureau.

 

Elle s’était levée un quart d’heure avant moi pour me préparer mon café, je ne lui avais rien demandé de particulier pour agrémenter mon réveil, je savais que ce soir en rentrant j’aurai toutes les satisfactions désirées.

 

Je lui rappelais brièvement les ordres donnés la veille,

 

elle m’affirma avoir compris et promis de se mettre en condition vestimentaire et mentale pour réaliser ma demande.

 

Je l’encourageais, lui remettant à l’esprit les sanctions promises.

 

La journée passait vite de rendez vous en entretiens téléphoniques.

 

J’ avais, vers seize heures, appelé mon domicile, pas de réponse…..

 

Elle devait être sortie et même peut être à l’ouvrage.

 

Cette pensée m’excita davantage, j’avais une certaine hâte de rentrer à la maison.

 

J’arrivais à dix neuf heures, un client venu sans rendez- vous à la dernière minute, comme souvent, m’avait empêché de partir plus vite.

 

Je l’avais appelé de la voiture pour lui dire que j’allais être un peu en retard, elle m’assura que ce n’était pas grave, qu’elle m’attendait.

 

Je devinais à sa voix une certaine fébrilité mais ne lui posait aucune question.

 

Elle m’attendait sur le seuil de la porte, quand je garais ma voiture.

 

On entra dans le salon, je fermais la porte à clé et tirais les rideaux.

 

 

CHAPITRE 5

 

 

 

Le feu était allumé dans la cheminée, une baguette d’encens brûlait sur son socle habituel.

 

Je vis à sa tenue et à son regard, qu’elle était passée à l’acte.

 

Elle avait mit une jupe un peu courte pour la saison et un débardeur échancré laissait deviner ses seins.

 

Elle était bottée, ce qui la rendait encore plus baisable.

 

J’étais assis sur le canapé, et lui demandais de se dévêtir entièrement, en commençant par son slip.

 

Elle hésita un peu…

 

- Allons dépêche toi! 

 

Elle se plia, retira sa culotte de couleur bleu marine, fit un pas en avant, me la tendit et ôta débardeur et jupe.

 

Elle était nue dans ses bottes.

 

Je pris le slip….Je fis glisser mes doigts sur le fond, il était trempé, pas encore sec des restes de son aventure.

 

Je le sentais, l’odeur forte était bien celle de son jus mélangé à du foutre.

 

- Eh bien ma salope! Tu vas me raconter ton après-midi en détail.

 

Je lui demandais de se mettre à genoux les mains dans le dos sans poser les fesses sur ses bottes, lui précisant qu’elle garderait la position durant toute sa narration.

 

Elle était splendide ainsi, les seins étaient bien dressés et ses tétons légèrement en érection.

 

Je baissais mon pantalon et commençait à me caresser.

 

Elle regarda ma queue déjà tendue.

 

- Je t’écoute !……Et sois précise.

 

Elle me racontait:

 

-Alors que faisant de l’auto-stop, un premier automobiliste ne s’était pas arrêté……..quelques minutes ensuite une voiture break, tirant une bétaillère, avait aussitôt stoppé.

 

Au volant, un paysan gras et mal fagoté me dit,

 

- Elle va où ? La petite dame. 

 

Je montais dans la voiture ………..

 

Ça sentait mauvais, un mélange de sueur et de cour de ferme………

 

Il me demanda, si je n’étais pas trop pressée, je lui répondis que non.

 

Il fallait qu’il quitte la route pour passer dans une ferme, où il devait charger un seau de fumier, destiné à son potager.

 

Un kilomètre plus loin, il tournait sur la gauche et empruntait un chemin de terre chaotique percé de nombreux nids de poules, la voiture bringuebalait dans tous les sens, c’est là que je m’aperçus entendant beugler, que dans la remorque fermée, il y avait une vache qui manifestait son inconfort.

 

- Je transporte souvent des bestiaux, me dit il. 

 

Je regardais devant moi, je sentais son regard sur mes cuisses, j’avais un peu relevé ma jupe et dégrafé un bouton de mon débardeur, de côté, j’étais sûre qu’il pouvait entrevoir un peu mes seins.

 

Le chemin faisait bien quatre ou cinq cents mètres et on arrivait dans une grande cour boueuse et délaissée, entourée de vieux bâtiments délabrés et inhabités depuis longtemps.

 

J’étais un peu inquiète……….

 

Il stoppa le moteur, et me regarda……….

 

Il avait des yeux de cochon et n’était ni rasé ni lavé depuis sûrement plusieurs jours, ses mains étaient crasseuses d’une journée de travail à la terre, des mains de cul-terreux.

 

- On va être tranquille là! … Hein? me dit-il.

 

Il me demanda alors,

 

- La petite dame a pas l’air farouche!……..elle va bien me faire une petite gâterie ………Quand on montre ses cuisses et des morceaux de mamelle ……..C’est qu’on doit quand même être un peu cochonne. 

 

Sans attendre ma réponse, d’une main rugueuse, il m’attrapa un sein et me le serra très fort en me faisant mal, de l’autre main qu’il glissa sous ma jupe, il écarta mon slip et commença à me fourrager la chatte avec deux doigts que je sentais calleux.

 

Mon épilation intégrale sembla le surprendre.

 

- Elle a la touffe rasée la vicieuse! 

 

Il essaya de m’embrasser, sortant une grosse langue chargée, il puait vraiment de la bouche, je le repoussais.

 

Il me branla durement pendant plus de cinq minutes,

 

ses gros doigts rentraient et sortaient de plus en plus vite je sentis mon con douloureux se mettre à couler………Lui aussi.

 

- Elle aime ça la cochonne! Elle mouille! 

 

On sortait alors de la voiture, j’étais consentante, il m’emmena dans une vieille grange, la porte de bois usé était presque arrachée, d’anciens gonds forgés et rouillés la retenaient à peine.

 

Au sol, en épaisse couche, du vieux foin sali par le temps.

 

- Couche toi là dessus, grosse salope ! me dit il.

 

- Fous toi à poil et garde tes bottes! 

 

Je m’exécutais, j’avais un peu froid.

 

- Ben dit donc! T’es foutue comme dans les magazines toi, ou celles qu’on voit dans le poste……

 

Il baissait son pantalon, j’eu à peine le temps d’apercevoir sa bite…..elle me parut énorme…..il se vautrait sur moi, m’écrasant de tout son poids de porc, et m’enfila directement en tombant sur moi.

 

Là!…..Je sentis que sa queue était vraiment grosse, large et épaisse.

 

Il m’a bourrée violemment pendant plus de trente minutes, ça n’en finissait pas, me traitant sans arrêt de grosse chienne, de truie vicelarde, j’étais devenue sèche tant il était repoussant et brutal, mais il continua malgré les brûlures que je ressentais à l’intérieur des parois de ma vulve, je penchais la tête pour échapper à sa mauvaise haleine, j’étais écrasée.

 

Il éclaboussa soudain mon intérieur en grognant, crachant un sperme que je sentis très chaud et épais .

 

Il se retira brusquement, ma chatte était brûlante, c’était terminé………

 

Je n’ai même pas joui, je me sentais soulagée, ça m’avait paru interminable.

 

J’étais couverte de brins de paille collants, j’avais transpirée sous le poids et les violents coups de reins assénés sans pose…….

 

Il m’a laissé me rhabiller, je le regardais, il respirait bruyamment, son visage dégoulinait de transpiration, il replaça son instrument ramolli et ses grosses couilles dans son pantalon, puis il est sorti.

 

Il m’a remmenée sur la route, je suis rentrée en stop…… C’est une jeune fille qui s’est arrêtée, dix huit, dix neuf ans, très sympa et plutôt jolie, elle m’a laissé son téléphone.

 

Tu as là sur le fond de mon slip les restes de son foutre que je t’ai rapporté, comme tu me l’as ordonné……..

 

J’étais satisfait de son récit, regrettant toutefois qu’il ne l’ait pas enculée avec son gros vis.

 

Elle était toujours à genoux, sur son slip, une pellicule de petites croûtes de foutre faïencées se décollait durci par le séchage.

 

Je me levais, et lui introduisais sa culotte dans la bouche, lui demandant de la sucer, et de la nettoyer.

 

Quand je la ressortais, le fond était propre, la lessive était faite.

 

Je l’autorisais à venir s’asseoir près de moi, elle eut un peu de mal à se relever, la position l’avait quelque peu engourdie.

 

Je la félicitais, et pour la remercier lui plongeais ma tige enflammée au fond de la gorge, elle ne suça pas longtemps, très excité je l’inondais aussitôt.

 

Elle déglutit, je l’envoyais se laver, elle sentait la sueur et la paille humide.      

 

Elle préparait le repas du soir, vite avalé, j’étais pressé d’aller me glisser sous la couette.

 

J’étais couché et écoutais la radio pendant qu’elle faisait la vaisselle.

 

Quand elle montait enfin dans la chambre, je lui imposais de se mettre au sol en position de la levrette, seuls, les avant bras, les coudes et les genoux devaient toucher le parquet, la tête maintenue droite, la croupe tournée vers moi, ainsi exposée je ne l’autorisais à se coucher que lorsque je serai endormi.

 

Ce qu’elle fit, sans doute, car mon dernier souvenir avant le sommeil fut l’image de son cul correctement tendu.

 

Je me réveillais avant Carole, elle dormait encore et

 

n’avait pas entendu le radio réveil, il était six heures trente.

 

Je passais ma main entre ses cuisses, elle se retourna en couinant sans se réveiller.

 

Délicatement, je tirais la couette jusqu’à ses genoux, elle bougea un peu, se remettant sur le dos sans encore ouvrir un œil.

 

Le travail accompli la veille l’avait réellement fatiguée.

 

J’en profitais pour examiner son conin, il était gonflé, un peu rougi, bien fermé et de la fente dépassaient légèrement les petites lèvres.

 

Je la caressais doucement d’un doigt et entrepris de la sucer.

 

Elle dormait, par habitude, sur le dos et les jambes toujours un peu écartées, ce qui allait me faciliter le léchage.

 

J’engageais ma langue entre ses lèvres, et me délectais en même temps de la bonne odeur et d’un peu de sa crème

 

secrétée durant la nuit et qui sait ?..Peut-être des effluents de la veille.

 

Au troisième passage, j’avais à peine gouté, qu’elle se réveilla.

 

- Hein……..qu’est-ce qu’il y a ?…….  L’entendis je murmurer.

 

- Ce n’est que moi ! Darling……… 

 

- Mm!……continue… Ça fait du bien!…… 

 

Encouragé, je changeais de position, lui écartant largement les jambes et glissant ses talons sous ses fesses, je me mis à lui bouffer goulûment la crevasse.

 

Elle ne tardait pas à tordre son bassin dans tous les sens, je devais me cramponner à ses hanches pour que ma bouche ne la quitte pas.

 

Plus elle bougeait, plus je la dévorais et plus elle crachait sa chaude cyprine, j’en avais plein la bouche, ma mâchoire commençait à me faire mal, quand ……je l’entendis gueuler comme rarement, elle était en train de jouir, quelques minutes avaient suffi, son râle était impressionnant accompagné d’une dernière giclée qui me suffoqua presque.

 

Je me levais, allais vite dans la salle de bain pour me passer un gant de toilette humide sur le visage, car son jus était collant.

 

Je regagnais la couche, elle avait l’air apaisée.

 

-Ca m’a fait vachement de bien ! me dit-elle.

 

- A mon tour ! lui dis-je. Je bandais fort depuis mon réveil……et lui avais consacré beaucoup de temps….Je la retournais sans ménagement et l’enculais sans ménagement non plus, je la traitais de grosse salope, lui rappelant à l’oreille, les saloperies qu’elle avait faites le jour passé.

 

Après quinze minutes de labourage, bien scandé et bien profond, j’eus moi aussi, un bel orgasme bien mérité.

 

Il fallait maintenant que je me dépêche sinon j’allais être en retard au travail.

 

Je me mis sous la douche, elle, sur les toilettes pour extraire de son orifice le sperme dont je venais de la remplir et pisser aussi, puisque j’entendis le jet puissant et familier de son urine heurtant le fond de la cuvette.

 

Sur la route, je songeais sérieusement à prendre très vite une semaine de vacances.

 

J’étais en retard par rapport à mes collègues, une semaine entière me ferait du bien.

 

J’avais des projets pour Carole, lesquels ne nécessitaient pas que l’on s’absente de notre domicile, bien au contraire.

 

Ce lundi soir, je rentrais assez tôt, Carole m’attendait sagement, elle me présenta son slip lequel attestait qu’elle avait été sage durant la journée, il n’était jauni que de ses pertes.

 

Il faisait moins froid, elle avait quand même allumé le feu, le ménage était fait.

 

Je lui fis part de mon intention de prendre une semaine de repos et lui demandais si elle avait bien conservé le numéro de la jeune fille qui l’avait raccompagné

 

Elle eut un doute…….se leva, chercha dans son sac

 

et me brandit avec un sourire malicieux une carte de visite.

 

- Mais pourquoi? me dit -elle.

 

- Assied toi!…  

 

Je lui expliquais ce qu’elle avait déjà compris.

 

Il serait bien que tu l’invites à boire un thé ou un café pour la remercier, et usant de ton charme tu devras te débrouiller pour que très vite on puisse la déniaiser.

 

Cette idée emballait Carole, elle avait par le passé eu des rapports intimes avec une femme et en gardait un très bon souvenir.

 

Je te laisserai dans un premier temps la gouiner seule et quand tu l’auras correctement assouvi, on pourra se faire une soirée avec William……..

 

Elle était de plus en plus partante………..

 

- Je te laisse le soin d’organiser ta rencontre, il faudrait que tu l’appelles dès demain.

 

Je lui demandais aussi de regrouper l’ensemble des sex-toys que je lui avait offerts ainsi que les accessoires

 

que j’avais un peu délaissés ces temps derniers.

 

La plupart avaient été trouvés sur internet, et d’autres acquis à moins chers dans une animalerie.

 

J’avais, par le passé, accompagné Carole afin qu’elle choisisse un beau collier de chienne en cuir noir clouté assez large pour un bon maintien du cou, des colliers pour petits chiens avaient fait l’affaire pour les poignets.

 

La laisse, les cordelettes de bondage et autres accessoires animaliers avaient été également pris dans le même magasin et l’économie s’était avérée réelle.

 

Seuls, les fouets, cravaches, baillons, cagoules et autres objets indispensables avaient été achetés à titre vraiment onéreux auprès de fabricants professionnels et livrés par la Poste.

 

Elle s’engageait à mettre à ma disposition tous ces matériels au plus vite.

 

Je lui promettais une application du fouet pour mon retour demain soir.

 

Elle fit une petite grimace…

 

Elle se souvenait des douleurs de précédentes séances.

 

Ma seule exigence pour la présente soirée était qu’elle mette tout de suite son collier et lui promettais qu’elle ne serait pas fouettée ce soir.

 

Elle alla dans la chambre et revint collier au cou la laisse à la main.

 

Je l’envoyais préparer le repas, des tripes à la mode de Caen, pendant que je dégustais mon apéritif en regardant les infos.

 

Elle n’aimait pas les tripes.

 

J’insistais, lui expliquant que c’était bon pour elle.

 

Sa réticence m’excitait……

 

J’envisageais pour elle une punition.

 

Quand le repas fut servi, je lui ordonnais de se mettre nue, de déposer son repas dans sa gamelle en inox et de manger à quatre pattes comme les chiennes.

 

Elle était complètement soumise, elle mangeait avec difficulté, les mains dans le dos, je tirais sur la laisse et lui appuyais sur la tête avec mon pied pour l’aider à bien lécher le fond du récipient.

 

Son repas terminé, j’avais la queue turgescente………

 

Je baissais mon pantalon, elle comprenait vite, et la bouche toute grasse du jus des tripes elle me suça

 

comme une vraie salope.

 

Elle avala son dessert, et je l’envoyais faire la vaisselle

 

avant d’aller se coucher.

 

Les couilles vidées, je lui plaçais des tires tétons à ventouse qu’elle sentait douloureux et la laissais reprendre la lecture d’un bouquin commencé depuis longtemps.

 

Je m’endormais, la regardant lire et souffrir de l’étirement.

 

Au réveil, les tires seins étaient tombés mais un anneau de rougeur en cernait les extrémités et attestait que la pose avait duré une bonne partie de la nuit.

 

Sur ordre, elle se mit en position et me suça le dessous des couilles, les mordillant habilement comme je le lui avais appris, je me branlais et décidais pour éjaculer de la baiser rapidement sans préparation, elle était un peu sèche et n’eut pas le temps de jouir, ça n’avait pas d’importance.

 

Ce mardi matin je partais juste à l’heure, j’avais hâte de préparer mes vacances et de planifier mes rendez-vous avec Corinne, une semaine de congé nécessitait forcément des reports et mon associé n’avait pas les compétences requises pour le faire à ma place.

 

Seul mon autre collaborateur pouvait s’en charger et toute une partie de la journée fut consacrée à organiser au mieux ma future absence.

 

Je passais en fin de matinée un coup de fil à Carole, elle m’apprit que j’aurai ce soir la surprise d’une visite, j’en étais ravi.

 

Elle se refusait au téléphone à m’en dire plus, ce qui m’incitait à ne pas rentrer trop tard.

 

 

CHAPITRE 6

 

 

 

A dix neuf heures, j’arrivais enfin au domicile, effectivement la surprise était plutôt sympathique, dix neuf ans, brune au cheveux courts, les yeux noisettes, plutôt très bien foutue avec un joli sourire juvénile.

 

-Je te présente Vanessa, la jeune fille qui m’a prise en stop.

 

- Enchanté!….Charmé même! 

 

Elle était assise à coté de Carole, une jupe courte pour la saison laissait entrevoir ses longues jambes fines et dénudées jusqu’à mi-cuisses, un pull de laine noir enveloppait le haut de son corps et laissait deviner des seins fermes et prometteurs.

 

Les filles étaient à l’apéritif, je me joignais à elles.

 

Elles parlaient de trucs de femmes, vêtements, parfums , coiffeurs………..

 

Je ne participais pas à la conversation je restais volontairement en retrait, les regardant, souriant et amusé de leur commentaires.

 

Je pensais, songeur, qu’elle serait « bonne » la Vanessa. Je l’imaginais déjà les jambes ouvertes en train de prendre son pied, elle me regardait de temps en temps cherchant un acquiescement à ses propos, je m’empressais de lui répondre en hochant la tête positivement, ce qui lui donnait à chaque fois un air de satisfaction.

 

Je remarquais que Carole lui parlait en lui posant la main sur la cuisse, geste familier peut-être mais qui manifestement ne la gênait pas.

 

Les blablas allaient bon train depuis plus d’une heure, quand Vanessa décidait de nous quitter.

 

Je la raccompagnais avec Carole sur le pas de la porte

 

Elle avait l’air enchanté d’avoir fait notre connaissance.

 

- Alors ? demandais-je à ma femme.

 

- Qu’en penses-tu ? me dit-elle,

 

- Que du bien!……..Si elle est aussi chaude qu’elle est bien branlée ça promet des soirées sympas.

 

Carole m’expliqua qu’elle l’avait déjà branché, et que lorsque j’étais arrivé elle était là depuis plus de trois heures.

 

Elle me résuma leur entretien, et m’expliqua que la petite cochonne était, bien que peu délurée, assez partante pour

 

tenter une expérience de gouine avec elle.

 

- Eh ben! t’as fais vite……. 

 

- J’ai su lui parler, la séduire, et trouver les bons arguments ………

 

Pour tout dire, elle est inexpérimentée mais très chaude et assez impatiente de découvrir les plaisirs du sexe. 

 

Voilà qui me paraissait parfait pour une première rencontre.

 

Je précisais à Carole qu’elle allait, dans un premier temps, devoir se la faire toute seule et la modeler rapidement, mes vacances étaient programmées pour la semaine prochaine, elle devrait passer à l’acte avec Vanessa avant le week-end, afin qu’ensuite elle soit prête pour que je la monte à mon tour.

 

On se couchait de bonne heure.

 

J’étais excité à l’idée que j’allais bientôt défoncer le petit fondement de l’ingénue.

 

En attendant, c’est le cul de Carole que je défonçais jusque tard dans la nuit, après lui avoir appliqué la séance des douze coups de fouet promis la veille.

 

J’avais pris le martinet à lanières courtes, il était efficace

 

pour la douleur et ne laissait que peu de rougeurs sur les points d’impacts, je ne souhaitais pas que Vanessa, prochainement dans son lit, aperçoive des traces.

 

Elle avait reçu sa punition, obéissante, allongée sur le ventre, vêtue de son collier et de ses bottes.

 

Je ne l’avais pas attachée, je visais le fessier et les reins, frappant fort, partageant les coups avec méthode et régularité sur les deux parties de son anatomie.

 

Je ne l’entendais presque pas, ne voyant que les contractions de ses fesses à chaque application, elle avait pris son oreiller à bras le corps l’avait serré fortement et enfoui son visage dedans, étouffant ainsi ses cris.

 

La correction achevée, elle me remercia comme elle devait le faire après chaque châtiment que je lui infligeais.

 

Je constatais des marques superficielles, qui le lendemain matin avaient pratiquement disparu.

 

Les jours passèrent jusqu’au vendredi après midi, sans rien de particulier, Carole n’avait pas été punie, tout juste avait elle eu à pratiquer la fellation matinale, et je ne l’avais sodomisé que deux fois ces deux derniers jours.

 

Je tenais à ce qu’elle soit en forme pour recevoir son invitée.

 

Le rendez vous avec Vanessa avait été fixé au vendredi après midi, c’est en rentrant le soir que Carole me raconta les évènements auxquels je n’avais pas assisté.

 

- Voilà! me dit-elle.

 

Elle est arrivée vers treize heures et à quatorze heures après un thé et une brève discussion, nous étions dans la chambre. 

 

Je l’ai déshabillée, elle est vraiment bien faite…….

 

Des formes harmonieuses, un très joli corps de jeunette, après l’avoir allongée sur le lit j’ai commencé par l’embrasser sur la bouche, en lui caressant doucement les seins que j’ai trouvés très fermes, elle se laissait faire, la confiance était acquise.

 

Ensuite je lui ai titillé le berlingot, elle n’est pas rasée et a un poilu brun épais et bien garni, son clitoris est petit mais accessible, elle s’est mise à baver très vite……

 

Ça mouille bien et abondamment à cet âge là.

 

Mais, j’ai eu une grosse surprise en voulant lui enfoncer un doigt dans la motte, je constatais ébahie sa virginité, la petite vicieuse est encore fermée et n’a jamais été visitée.

 

- Tu es pucelle ? Petite cochonne.

 

Elle m’avoua, rougissante, qu’elle ne connaissait jusqu’à ce jour le plaisir que par la masturbation qu’elle pratiquait le soir dans sa couche en frottant un coussin sur son sexe.

 

Je me suis dit que tu allais être très content d’être sans doute le premier à lui déchirer l’hymen.

 

Effectivement ……. L’idée de percer cette petite garce

 

pour la première fois me fit aussitôt bander.

 

- Continue ! tu m‘excites, dis-je à Carole.

 

J’ai repris le massage de sa fente, laquelle avait rapidement gonflé, et je lui ai sucé le bouton…..

 

Sa mouille très liquide et jamais récoltée de la sorte avait bon goût, je me suis régalée.

 

Elle a commencé à couiner assez fort……remuant son bassin d’avant en arrière, quand soudain elle s’est raidie en râlant, en à peine dix minutes elle venait d’avoir un petit orgasme.

 

Je lui ai aussi exploré et léché la rosette, tu auras du mal à rentrer dedans, elle est vraiment étroite, je suis sûre que son trou arrière est intact de toute pénétration.

 

La description précise de ses orifices faite par ma femme me convenait et m’excitait davantage encore……….. Vivement! que je puisse moi-même l’examiner.

 

Ensuite me dit Carole, je me suis mise à califourchon, écrasant et frottant ma moule humide sur son visage, elle m’a léché et bouffé le minou comme une salope expérimentée, j’ai eu beaucoup de pertes et j’ai joui dans sa bouche.

 

Après on à pris une douche ensemble, se savonnant et se caressant le corps.

 

-C’est à peu près tout…….

 

Ça a duré environ deux heures……….Mais je t’ai gardé le meilleur pour la fin.

 

-J’ai réussi à la convaincre, non sans mal, que tu serais le plus adroit grâce à ton expérience pour la déflorer correctement et sans douleur…..Elle a accepté.

 

Satisfait de ce récit, et pour remercier Carole je la baisais rapidement sur le canapé, elle était prête et pas sèche du tout, ses évocations avaient sans doute alimenté ses secrétions, elle jouit vite, c’était la deuxième fois de la journée.

 

Je lui demandais d’aller préparer le repas, j’avais faim.

 

J’étais en vacances pour une semaine et deux week-end

 

et je comptais bien en profiter au maximum.

 

Après avoir mangé, on passait la soirée à discuter tranquillement, et à écouter des chanteurs en sélectionnant chacun notre tour nos disquettes préférées.

 

J’avais rallumé la cheminée bien que la température était moins fraiche que les jours passés.

 

Carole avait allumé un bâton d’encens, senteur sapin blanc et nous dégustions avachis sur le canapé, une bouteille de champagne.

 

Il faisait nuit, nous entendions, de temps en temps, de rares voitures passer dans la rue qui bordait notre maison.

 

C’était une soirée calme et apaisante comme nous aimons tous en avoir de temps en temps.

 

Les bulles aidant, on ressentait cette indicible impression d’absence de problème et comme bercés par une douce insouciance on s’abandonnait à nos rêveries, nous regardant souriant, complices et heureux d’être ensemble.

 

On échangeait nos critiques, surtout positives, sur les tubes que nous écoutions, nous remémorant des souvenirs communs liés à ces airs et paroles que nous pensions pour certains oubliés, comme chassés de nos mémoires.

 

La soirée s’éternisait, la bouteille était vide, on décida d’aller se coucher.

 

Sur la commode de notre chambre le réveil annonçaient

23:00 heures, je m’empressais de couper la sonnerie. Demain, rien ne nous obligeait à nous lever tôt.

 

Nous étions fatigués, Carole me demandait alors de lui faire grâce de toute pénétration pour ce soir, se plaignant un peu d’échauffements de ses intimités, j’acceptais sans rechigner elle avait été vraiment charmante ces derniers temps et méritait bien une accalmie.

 

On se réveillait, ce samedi matin aux environ de neuf heures trente, la nuit de sommeil nous avait fait du bien, Carole avait un visage reposé et moi je me sentais en pleine forme.

 

On fit, en rigolant, quelques étirements, puis on se leva

 

d’un bond, bien décidés à passer une agréable journée.

 

Je m’habillais, et pendant que Carole préparait le café,

 

Je fonçais à la boulangerie et revenais avec une baguette encore chaude.

 

J’allumais la télé pour voir les infos, je baissais le son au maximum rendant encore une écoute possible. On déjeuna tranquillement en prenant notre temps, appréciant l’odeur du café et le croustillant de la baguette

 

bien beurrée.

 

Ensuite, on prit notre douche ensemble en se frottant chacun notre tour le dos couvert de savon, on restait sage, et de voir ma queue dressée amusa et fit rigoler Carole.

 

Il fallait que l’on aille faire le ravitaillement pour la semaine, c’était pour elle comme pour moi, une corvée

 

réitérée mais incontournable.

 

On se retrouvait vite à pousser le caddie, il fallait aussi prévoir des provisions pour nos futurs invités, un peu d’alcool, surtout pour William qui appréciait particulièrement les boissons fortes.

 

Du champagne j’en avais en réserve, inutile d’en acheter.

 

De retour à la maison, il s’agissait d’organiser nos invitations.

 

J’exposais à Carole mon point de vue, je pensais qu’il fallait mieux faire venir Vanessa seule pour la première fois.

 

Je serais plus à l’aise pour la dépuceler sans la présence de William et deux mecs d’un coup risquaient de lui faire peur, n’oublions pas qu’elle n’a jamais été prise, ni par devant ni par derrière.

 

Il serait préférable d’attendre son dépucelage avant de l’introduire à deux.

 

Carole était d’accord avec moi convenant qu’elle et moi lui suffiraient pour une première fois, surtout que je devrais la déflorer par les deux orifices et que Carole comptait bien s’en occuper aussi.

 

Nous étions en harmonie sur la façon de la pratiquer et je demandais à ma femme de lui téléphoner pour qu’elle vienne le soir même.

 

Le coup de fil était passé, elle devait arriver vers dix neuf heures pour le repas du soir.

 

Je précisais à Carole de préparer pour le soir un repas assez léger sans faire trop de chichis, le but étant de mettre la petite cochonne au lit le plus tôt possible et non pas de faire un gueuleton ………C’était pas le nouvel an.

 

Pour William on attendrait le milieu de la semaine pour qu’il vienne la défoncer à son tour.

 

On décidait après le repas, d’aller faire une sieste, il était nécessaire que nous soyons en forme pour la nuit à venir.

 

Nos préparatifs nous avaient un peu excités, à peine couché je baisais sauvagement Carole, elle n’attendait que ça elle était trempée jusqu’à l’intérieur des cuisses.

 

Je la défonçais pas plus de vingt minutes et on s’endormit.

 

On se réveillait après un long somme, il était seize heures.

 

Il fallait changer les draps, le sexe de Carole avait coulé pendant son sommeil dessinant des cartes de France jaunâtres trop visibles pour la vierge que nous allions bientôt accueillir et transformer.

 

Nous avions décidé de mettre nos draps et parures de lit en soie noire, nous les avions achetés en Italie lors de précédentes vacances et ne les utilisions que pour les grandes occasions.

 

On prépara ensemble la literie, des bougies neuves furent mise en place sur les bougeoirs de la commode, on disposait d’une petite chaine hifi, une sélection de musique plutôt classique fut rapidement choisie, notamment Le Boléro de Ravel dont l’accélération du rythme accompagnait bien les coups de reins pendant un rapport.

 

L’ambiance était créée, il fallait que la pucelle se sente dans un univers de sérénité propice à sa métamorphose.

 

Il ne restait plus qu’à installer la table et préparer le diner, je laissais Carole faire, j’avais mis trois bouteilles de bulles dans le frigo.

 

   

 

CHAPITRE 7

 

 

 

Il n’était pas encore dix neuf heures, tout était parfaitement prêt, quand on sonna à la porte.

 

Carole alla ouvrir et accueillir Vanessa, elle n’était pas en retard.

 

Je supposais qu’elle était pressée de se faire sauter et des images érotiques embrumèrent passagèrement mon cerveau.

 

Je me ressaisis vite et l’invitai à s’asseoir.

 

- J’ai trouvé une place sur le petit parking à coté……..J’espère que c’est pas privé…? 

 

Je la rassurais, lui disant qu’elle avait bien fait, du moment que sa voiture était fermée à clés……

 

- Oui! Oui! Je l’ai fermée……. 

 

Elle avait mis un pantalon assez collant, un pull à col ras et se trouvait un peu perchée sur des chaussures à talons hauts.

 

C’était pas terrible mais ça n’avait aucune importance,

 

elle finirait de toute façon à poil.

 

Un peu de musique, la cheminée allumée, je servais le champagne.

 

- Ah! Chic, j’adore ça… dit-elle

 

- Mais ça me tourne la tête ……à chaque fois. 

 

Je pensais que j’avais fait le bon choix, le champagne ça marche toujours, et il n’y avait pas que la tête qui allait lui tourner…………

 

La conversation tournait autour de banalités, je m’aperçus très vite qu’elle était un peu sotte ce qui ne gênait en rien pour le rôle auquel je la destinais ce soir.

 

On prit une coupe, puis deux, puis trois et on passait à table déjà un peu gais et biens décontractés.

 

Le repas, accompagné d’une sélection de bons vins était excellent, elle l’appréciait manifestement, redemandant de ceci et de cela.

 

Je pensais en moi-même qu’elle avait raison de prendre des forces…et que si elle avait les mêmes coups de reins que ses coups de fourchettes ça promettait……

 

Elle était de plus en plus à l’aise, nous faisant des confidences sur son boulot, sa famille, sa sœur ainée qui était mariée mère d’un enfant et qui vivait à la Martinique avec son mari militaire…..Son père à la retraite depuis peu qui souffrait de rhumatisme, sa mère qui adorait regarder « L’amour est dans le pré »

 

à la télévision….. Et sa grand-mère, veuve qui était depuis peu de temps en maison de retraite………

 

Et que ça coûtait cher et que patati et patata………..

 

A vrai dire, elle commençait à me gaver avec ses histoires, moi aussi j’avais mes problèmes ,surtout mes couilles qui commençaient à me faire mal.

 

Elle n’était pas là pour me raconter sa vie, j’invitais donc les donzelles à regagner le canapé et ouvris une bouteille.

 

Carole s’était assise très près d’elle et commença à la fixer dans les yeux, souriante, portant un toast en lui demandant d’enlacer leurs bras pour boire la coupe.

 

Il était presque vingt trois heures et Carole, la prenant par la main l’entraina vers l’escalier, en lui disant…..

 

- Tu viens! On va se reposer un peu…… 

 

Elle la suivit, sans rien dire.

 

J’attendais quelques minutes avant de monter dans la chambre, je fumais une cigarette et emportais la bouteille et les trois flûtes.

 

Les deux superbes femelles étaient entièrement dénudées, immobiles.

 

Seules les ombres, portées par les chandelles, virevoltaient et dansaient sur leurs corps semblant les animer.

 

Carole allongée sur le coté, la tête dans la main, le coude enfoncé dans le matelas regardait la jeune fille.

 

Vanessa était étendue sur le dos, les mains croisées sur le pubis dernier faible rempart à sa virginité.

 

J’allumais la chaîne, une douce sonate envahit la chambre.

 

Je m’asseyais sur un fauteuil et contemplais le début du spectacle, humant leurs parfums respectifs qui s’étaient déjà subtilement mélangés, envahissant l’alcôve.

 

- Eh bien ! Mesdames, au travail!….Que la fête commence! 

 

C’est Carole qui commença à la peloter, elle lui baladait les mains partout, sur les seins, les jambes, le ventre, l’intérieur des cuisses, nulle partie de son corps ne restait à l’abandon.

 

La vierge se mit à onduler, avec de petits gémissements encore pudique.

 

Carole se mit à lui sucer le bout d’un sein, le mordillant sans doute, le corps bougeait davantage, les gémissements se faisaient de moins en moins pudiques.

 

La main de Carole avait en partie disparu entre ses cuisses enfin ouvertes, les doigts avaient écarté les lèvres de son sexe, elle la branlait comme seules les femmes savent le faire, augmentant sans cesse la vitesse du frottement.

 

Je m’étais déshabillé et assis sur le bas du lit, j’étais au première rang pour le spectacle.

 

- Ça y est!……Elle mouille et ça coule de plus en plus … me dit Carole.

 

- Continue! lui dis- je, prépare la bien…… 

 

Et Carole utilisant tous ses talents, la préparait et la préparait sans cesse, lui roulant des pelles, suçant un tétons , puis l’autre………lui fourrageant maintenant l’intérieur accessible de sa grotte pleine de jus.

 

Les gargouillis, provoqués par le va et vient des doigts dans sa gluante intimité, se mélangeaient et s’accordaient à la sonate.

 

J’avais la tige bien raide, quand soudain la jouvencelle, arqua son corps en laissant échapper un long râle.

 

Il n’avait pas fallu plus de vingt minutes, la petite salope venait de prendre son pied.

 

Je lui passais la main entre les cuisses, effleurant sa conque, elle était très mouillée, l’intérieur de ses cuisses et les draps aussi.

 

Je goûtais sa cyprine, un délice………

 

Elle était prête, Carole me fit signe de ne pas attendre et de l’enfourcher immédiatement, elle était à moitié dans les vaps et respirait rapidement.

 

Son corps était en sueur, Carole lui écarta les cuisses et je plongeais ma grosse queue brutalement à l’intérieur du chaud fourreau bien préparé.

 

Je sentis une très faible résistance sur le bout de mon gland, puis comme une déchirure, et j’entendis surtout son cri…..C’était fait!…….

 

Elle était définitivement percée.

 

Je me retirais aussitôt, et lui regardais la chatte, un filet de sang coulait………mon membre en était légèrement maculé……..

 

Je le lui fourrais dans la bouche pour qu’elle goûte la fin de sa virginité.

 

Elle passa sa main sur sa vulve et regarda ses doigts tachés de rouge……

 

Elle sourit à Carole l’air satisfait, elle n’avait pas souffert.

 

Maintenant que sa porte était ouverte, j’entrais à nouveau pour la baiser longuement, elle était encore étroite mais je fus agréablement surpris par la profondeur de l’étui, je tapais à fond, seules mes couilles n’entraient pas.

 

Je la besognais ainsi une bonne demi- heure, en missionnaire, je l’ai remplie quand Carole m’a serré les testicules.

 

Elle portait à nouveau ses doigts sur son con, puis les mettant sous son nez, elle huma fort, découvrant ainsi

 

pour la première fois l’odeur du foutre qu’elle lécha du bout de la langue.

 

Ces gestes me persuadèrent que je venais de déflorer une grosse vicieuse.

 

Je me levais et nous servais une coupe de champagne.

 

On trinquait tous les trois, saluant l’importance de l’évènement.

 

Carole décidait maintenant de lui montrer comment on pratique une fellation.

 

On s’installa et c’est avec grande attention et beaucoup d’intérêt qu’elle assista à la leçon, allant même jusqu’à poser des questions purement techniques.

 

Elle avait une grande soif d’apprendre, ça tombait bien les professeurs étaient disponibles.

 

Quand je crachais mon éjaculat dans la bouche de Carole, je précisais à Vanessa qu’elle la regarde bien déglutir, qu’il ne fallait jamais cracher, toujours avaler

 

la chaude liqueur, sinon à contrarier, voire à gâcher le plaisir de son partenaire, pour lequel c’était en quelque sorte une récompense qu’il offrait ainsi.

 

Elle acquiesçait, sa naïveté en faisait une bonne élève.

 

Je demandais à Carole de l’embrasser en mélangeant leurs langues afin que Vanessa puisse se délecter du sperme qui lui restait collé à l’intérieur des joues et sur les gencives.

 

Elle s’empressa d’obéir et notre ingénue récolta ainsi dans sa bouche les fils gluants que Carole n’avait pas avalés.

 

La pose était terminée, et je donnais ordre à Carole de raser entièrement la chatte de Vanessa.

 

J’avais l’intention de lui bouffer le minou et je supportais mal un poil dans la bouche.

 

Je préférais qu’elle fasse le travail au rasoir plutôt qu’à la crème et lui fournis les outils nécessaires.

 

J’en profitais pour descendre et fumer une cigarette.

 

Quand je remontais dans la chambre, Carole était à l’ouvrage les genoux par terre, le visage face aux cuisses écartées de l’ancienne pucelle.

 

Elle lui avait disposé une serviette de toilette sous les fesses et enduite le sexe de mousse à barbe qui se mélangeait à sa liqueur, car Carole me précisa que la petite salope s’était remise à mouiller pendant l’opération.

 

Le pubis était déjà dégarni, elle s’attaqua alors aux lèvres qu’elle écartait délicatement en les pinçant de deux doigts habiles.

 

Je me penchais pour admirer le spectacle et vis que le tour du trou de son cul était lui aussi abondamment poilu.

 

Le rasage allait être délicat sur cette zone, mais j’avais toute confiance quant à l’adresse de Carole pour mener à bien la mission confiée.

 

Vingt minutes plus tard, l’ex-vierge était nue davantage encore, plus un seul poil ne masquait son intimité.

 

Je passais ma main, c’était doux, je félicitais Carole.

 

Il était presque deux heures du matin, je décidais de reporter au lendemain sa défloration anale.

 

Je me plaçais entre les deux, leur demandant de me caresser doucement les couilles pour faciliter mon endormissement.

 

Nous étions dimanche, je me réveillais le premier, vers sept heures, je secouais un peu Carole qui se réveilla aussitôt en ronronnant.

 

- Il est sept heures……Lève toi! lui dis-je.

 

Vanessa dormait profondément.

 

Je demandais à Carole d’aller nous préparer le café, lui précisant que pendant ce temps je m’occuperais de Vanessa et lui ferais sucer mon pénis, histoire de voir si elle avait bien retenu la leçon.

 

Carole descendit, je me mis à genoux sur le lit, le membre en érection, près du visage de notre petite invitée.

 

Elle dormait toujours paisiblement, je commençais à lui passer mon gland décalotté sur les lèvres, ce qui eut pour effet de la réveiller brutalement, elle eut un petit sursaut

 

puis repoussa légèrement la tête en arrière pour regarder ce qui la chatouillait ainsi.

 

Je l’attrapais par les cheveux, et introduisis l’extrémité de ma verge dans sa bouche.

 

- C’est l’heure! Suce! Et applique toi! 

 

Elle commença à bouger la tête lentement, j’activais la cadence en la tirant par les cheveux, puis m’enfonçais de plus en plus profond dans sa gorge, le gland lui heurtait les amygdales, elle eut un petit renvoi, j’augmentais donc la vitesse des aller retour, et ainsi pendant plus de dix minutes, elle hoquetait de temps en temps et avait du mal à respirer, j’aperçus Carole dans l’entrebâillement de la porte, elle nous regardait en se caressant le sexe, et me fit du bras un geste d’encouragement, j’accélérais donc encore, encourageant la gamine

 

- Pompe salope!…Pompe!  J’étais à fond, quand soudain je crachais une très grosse et inhabituelle quantité de sperme.

 

Je me retirais après trois longues et puissantes saccades, attendant d’être sûr que j’étais bien vidé.

 

Elle en avait plein la mangeoire, elle se mit à toussoter, elle avait peu être un peu avalé de travers, ou bien était- ce la trop grande quantité de liquide qu’elle avait du mal à avaler.

 

Je lui plaquais la main sur la bouche pour que rien ne ressorte.

 

Elle finit, avec un peu de difficulté, par tout déglutir, certes c’était nouveau pour elle, mais elle avait tout de même bien retenu la leçon.

 

- Eh bien! petite dévergondée! on suce la bite au réveil, on a faim? C’est bon hein?

 

Elle regarda Carole, en ayant l’air un peu honteuse.

 

On se levait pour déjeuner, je demandais seulement aux filles de rester entièrement nues.

 

Il fallait que je dresse la petite vicieuse au plus vite, ce matin là Carole déjeuna à genoux.

 

J’expliquais à notre hôte qu’il y avait beaucoup de plaisir dans la soumission.

 

J’autorisais Carole à confirmer mes dires, ce qu’elle fit.

 

J’apportais certaines critiques sur la fellation du matin, et lui reprochais de s’être contentée d’ouvrir la bouche, que en fait c’était moi qui avait dû bouger et qu’il serait bon à l’avenir qu’elle se serve de ses lèvres pour serrer le pénis et que c’était à elle de remuer la tête.

 

Elle écoutait silencieuse, et promis l’air gêné, de s’appliquer la prochaine fois.

 

Elle prenait le bon chemin, si elle continuait, j’allais parvenir à en faire une belle petite salope très utilisable.

 

J’autorisais Carole à venir s’asseoir à table, et demandais à Vanessa de lui passer un doigt dans la fente pour lui prouver que la position à genoux avait excité ma femme.

 

Elle passa son doigt……….

 

- C’est vrai, elle est mouillée!….. S’étonna-t-elle pleine de candeur.

 

On lui demandait alors qu’elle était son impression pour sa première journée après son décapsulage……..

 

Elle nous assura être satisfaite se plaignant toutefois de légers picotements à l’intérieur de la chatte, Carole la rassura lui affirmant que c’était normal après une première fois et que ce n’était rien à coté de la brûlure qu’elle ressentirait après s’être faite enculer.

 

Vanessa paraissait subitement inquiète……..

 

Je grondais Carole, lui reprochant un peu de lui faire peur.

 

- Mais non! C’est pour rire. la rassura-t-elle.

 

Ces échanges de paroles me rappelèrent qu’il était temps de remonter dans la chambre.

 

- Allons! Les filles, au lit, c’est l’heure Vanessa de ta troisième leçon…….

 

- C’est quoi ? dit elle……….

 

- Je vais te sodomiser , ma poulette……Plus exactement, te percer le cul. 

 

-Ça doit faire mal?……. 

 

- Un peu au début…….Seulement au début. 

 

Je les regardais monter l’escalier, à poil, leurs culs étaient magnifiques.

 

Je demandais à Carole d’assurer la préparation de son anus par un habile léchage dont elle avait le secret, en pointant bien sa langue à l’intérieur du trou.

 

J’avais renoncé à lui injecter de la vaseline, il fallait que ça reste naturel.

 

Carole se mit au travail, ayant positionné Vanessa en levrette, elle lui donnait les dernières recommandations…

 

Eviter une trop grande contraction, au contraire pousser fort quand elle sentira le bout chaud posé sur sa rondelle…….

 

Ne pas craindre la douleur qui disparaitra dès que le gland sera rentré………

 

Bien écarter les fesses et rester la croupe tendue, les reins brisés.

 

Elle la léchait, je voyais sa tête qui montait et descendait sans cesse, la petite cochonne se mit à tortiller son cul en effectuant des rotations.

 

- Va falloir que tu remues moins ton cul tout à l’heure, sinon la pénétration va pas être facile.

 

lui précisa Carole, sortant de son entre-fesses le visage mouillé par la sueur et les coulures de son vagin.

 

Carole aussi était à genoux, j’avais envie de l’enculer, mais je patientais, chaque chose en son temps.

 

Je les regardais en m’astiquant le nœud, il était dur comme une enclume.

 

- Je crois qu’elle est prête! Vas-y! dit alors Carole.

 

Je mis le disque du « Boléro de Ravel » et je prenais sa place, j’écartais les deux rondeurs, et matais

 

la petite rondelle pleine de salive.

 

Je commençais par y enfoncer un doigt, ça rentrait mais c’était vraiment serré, j’effectuais quelques va et vient peu profonds sur un ou deux centimètres.

 

Enfin, je positionnais le bout de ma verge sur la rosace en appuyant très légèrement, la vierge anale bougea un peu, elle tenait la main de Carole, d’un violent coup sec j’entrais juste l’énorme gland.

 

Elle cria…….

 

J’étouffais son cri en enfonçant brutalement la totalité du reste.

 

Je restais une dizaine de secondes sans bouger, elle râlait, puis je commençais le va et vient, lentement au début ,je suivais la musique, puis de plus en plus rapidement. C’était un véritable étau, son sphincter me serrait la colonne comme rarement je l’avais ressenti.

 

Manifestement, j’étais le premier visiteur et le confirmais à Carole.

 

- Elle est vachement étroite la garce!….. 

 

Ses secrétions arrivèrent vite ce qui me facilitait le limage, me le rendant moins douloureux.

 

Elle serrait toujours la main de ma femme, ses râles s’espaçaient mais j’entendais ses plaintes.

 

- Ca me brûle!……..Ahh !!!……… 

 

Je continuais de la défoncer de plus en plus fort, toujours en écoutant la musique, essayant d’aller le plus loin possible.

 

Au bout d’un peu plus d’un quart d’heure, je n’en pouvais plus, Ravel avait terminé son ballet, et ma queue était vraiment à l’étroit à l’intérieur de son tunnel.

 

Je décidais donc de lâcher toute ma purée, la petite garce m’entendit crier, elle venait de comprendre que c’était la fin de son calvaire.

 

Je sortais mon membre lentement, il était gras, couvert de filaments brunâtres, mon gland était écarlate.

 

Je me levais et alla aussitôt me passer la queue sous le robinet du lavabo.

 

Quand je revins dans la chambre Carole était en train de la consoler, la pauvrette avait quelques petites larmes.

 

- J’espère que tu as apprécié la musique?  lui dis-je.

 

- Euh!……..Ben oui…….Un peu.

 

Elle n’était pas mélomane…………

 

On lui expliqua de concert que la première fois ça faisait souvent un peu mal, lui rappelant d’ailleurs que Carole l’avait prévenue.

 

Pour la rassurer, je la félicitais tant sur le comportement qu’elle avait eu, tant sur la qualité de l’étroitesse de son cul, et du plaisir rare que j’avais eu à la fourrer.

 

Elle parut contente de mes compliments, et cessa de pleurnicher.

 

- Si tu veux? Tu peux aller aux toilettes … lui dit Carole…..Ce qu’elle fit.

 

Il était bientôt onze heures, l’essentiel du travail était fait,

 

On prit tous une douche, les filles ensemble et moi tout seul.

 

Après le repas, préparé par les deux filles, on décidait d’aller faire une petite promenade à pied, il faisait un peu frais, Carole prêta un gros pull à Vanessa et une paire de basket.

 

Durant la balade Vanessa se pleignit un peu de ressentir comme une douleur au niveau de son cul, comme encore une présence qu’elle n’avait jamais perçue auparavant.

 

Je les laissais marcher devant moi, elles papotaient, je n’entendais pas tout de leur conversation, mais je me persuadais qu’elles parlaient de sexe et me contentais de regarder leurs formes bien faites.

 

Surtout leurs culs qui se balançaient doucement au rythme de leurs démarches.

 

C’est fou ce que deux femelles ont à se raconter.

 

Une heure avait passé, on rentrait à la maison, l’air pur nous avait fait du bien, à moi en tous cas.

 

Je proposais aux filles d’aller faire une petite sieste, elles acceptèrent.

 

On se retrouvait vite à poil sur le lit, je mis un peu de musique ,en évitant le « Boléro de Ravel » et leur demandais de se toucher, de me faire le plaisir de se gouiner.

 

Je m’installais dans le fauteuil pour les regarder, les deux cochonnes commencèrent leurs ébats, se caressant, se pelotant, se suçant les nichons, et puis têtes bêches elles se mirent à se gamahucher comme deux grosses salopes, à celle qui aspirait le plus la chatte de l’autre.

 

Et ça grognait et ça mouillait et ça jouissait, elles se bouffaient le cul pire que des chiennes.

 

Je n’existais plus, elles se suffisaient à elles même ces deux vicieuses.

 

Je me branlais depuis un quart d’heure et alla leur cracher mon foutre, à l’ une sur le dos et à l’autre en plein visage.

 

J’interrompais ainsi leur bouffe-minous.

 

- Bon, les cochonnes! Il va falloir un peu s’occuper de moi! 

 

Je leur lançais une serviette de toilette, elles essuyèrent le sperme dont je les avais beurré.

 

- Laquelle veut jouir la première ? 

 

Sans attendre la réponse je décidais de baiser Carole, la pauvre n’avait pas été fourrée depuis trop longtemps.

 

Je l’enfourchais en levrette, le gamahuchage l’avait bien humidifié, et recommandant à Vanessa de bien regarder, je limais vingt minutes puis changeais de trou, j’alternais ainsi à quatre reprises.

 

La petite était épatée et attentive, elle entendait Carole grogner de plaisir et se rendait compte qu’on pouvait prendre son pied par le cul.

 

Carole eut cette fois son orgasme par l’anus.

 

Elle était épuisée.

 

Je demandais à Vanessa de lui nettoyer la chatte et le cul avec sa langue……

 

Elle obéit, et lécha soigneusement.

 

Elle était vraiment bien cette petite!

 

Le cul de Carole débarbouillé, je fit nettoyer mon vis par Vanessa, elle s’appliqua avec le même soin, pendant que Carole alla se vider sur les toilettes.

 

Après, on fit la sieste.

 

Il était près de dix-sept heures, quand on se réveillait.

 

Le dimanche s’achevait presque………

 

J’avais les couilles complètement vidées, Carole avait joui, Vanessa avait encore mal au cul.

 

On décidait d’organiser la semaine, Vanessa devait partir partir assez tôt car elle travaillait le lendemain, son jour de congé était le mercredi.

 

Carole lui demandait de revenir le mardi soir, lui promettant qu’elle aurait une surprise.

 

On termina le dimanche à écouter des disques et à causer de choses et d’autres, mais surtout de tout ce qu’elle avait subi en quarante- huit heures.

 

Après le dîner, Vanessa décidait, comme prévu, de rentrer chez elle.

 

Il était vingt heures, nous lui fîmes les recommandations habituelles de prudence sur la route, elle promit de nous envoyer un message dès son arrivée, elle n’avait que trente minutes de route.

 

Je lui demandais juste avant son départ de nous laisser son slip, pour que nous ayons un petit souvenir, elle l’ôta, il était tâché des pertes du week-end.

 

Je caressais une dernière fois sa motte tondue, puis glissais doucement un doigt sur son anus et remontais vers l’intérieur de ses lèvres, elle était sèche et eut un petit gloussement en tortillant son bassin.

 

A peine fut elle partie, que Carole avec mon accord téléphonait à William, lui demandant de bien vouloir venir le mardi soir sans plus d’explication, il accepta.

 

On se couchait de bonne heure, mon portable bipa, Vanessa était bien arrivée, et après avoir longuement senti le fond de son slip, je le fourrais dans la bouche de Carole en me refaisant le film du week-end et la baisais rapidement avant de m’endormir.

 

 

 

 

CHAPITRE 8

 

 

 

Ce lundi matin, on fit la grasse matinée, le week-end nous avait un peu fatigués, on se levait à presque onze heures.

 

Carole voulu me sucer les couilles, mais je refusais lui promettant autre chose pour l’après- midi. Je devais garder des forces.

 

Elle débarrassa le lit des draps souillés, et fit une machine à laver.

 

Ensuite, elle éplucha des légumes et prépara le repas. Je feuilletais des magazines et la regardais faire assise devant la table du salon, les patates, les oignons, les carottes et les navets sur un journal.

 

Elle était restée en slip et soutien gorge, son collier autour du cou.

 

- Tu fais quoi? demandais-je.

 

- Un pot au feu ! Tu vois bien……..

 

Je ne voyais rien, si ce n’étaient ses formes, ses cuisses sous la table, la courbe de ses reins et ses seins qui surplombaient le journal encombré d’épluchures.

 

Il fallait bien deux heures pour cuire l’emblème culinaire français, on n’allait pas manger de bonne heure. Il était midi quand Carole plongea les légumes épluchés et la viande de bœuf dans le faitout, y ajoutant les poireaux et une gerbe d’herbes de provence.

 

Il fallait occuper ces deux heures.

 

J’envoyais Carole dans la chambre afin qu’elle mette ses bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles et qu’elle m’apporte les cordelettes, la cravache, le fouet et son bâillon.

 

Nous disposions au dernier étage de notre maison d’un grenier, endroit pratique pour des séances de flagellation.

 

Les combles, à la charpente apparente, était traversée d’une seule vieille ferme de chêne taillée à l’herminette dans des temps reculés, on n’ en faisait plus des comme ça.

 

Un entrait moisé, encombré de toiles d’araignées, était retroussé à environ deux mètres cinquante, une hauteur idéale pour suspendre par les bras le corps d’une soumise

 

devant recevoir le fouet.

 

Le grenier était assez sombre, seul un chassis Parisien couvert de poussière et trop petit pour la surface de la pièce, diffusait un peu de clarté.

 

On accédait dans ce lieu fermé par une étroite échelle de meunier, située dans la petite chambre, dont l’accès restait fermé par une vieille porte en bois un peu vermoulue.

 

Sur le sol, recouvert de planches de sapins poussiéreuses, étaient ça et là entreposées depuis des temps incertains, de vieilles caisses en bois noirci et quelques malles d’un autre siècle.

 

Un vieux matelas usé et taché de multiples auréoles brunes et jaunâtre était piqué debout contre le mur, attaché par des ficelles.

 

J’avais, il y a longtemps, vissé au sol des pitons en acier à l’applomp de la ferme, espacés d’environ un mètre, ils permettaient d’y attacher les bracelets des chevilles, l’écartement permettait de maintenir les jambes bien ouvertes.

 

Nous allions rarement dans ce grenier, j’y emmenais Carole deux ou trois fois par an, le plus souvent pour des punitions méritées, d’autres fois sans autre motif que celui de me faire plaisir.

 

Je rejoignais Carole dans notre chambre, elle avait mis ses liens, je lui demandais de mettre un slip blanc et ses bottes, ce qui l’obligea à remettre ses bracelets par-dessus.

 

Elle alla dans la petite chambre et emprunta l’échelle pentue, je la suivais avec les cordes et le fouet.

 

Elle se positionna sous la ferme, elle connaissait la place où elle devait subir son châtiment.

 

Je lui attachais les poignets entre eux, et lançais la corde par dessus la poutre, elle retomba de l’autre coté du premier coup.

 

Elle écarta d’elle-même les cuisses pour je puisse nouer ses chevilles aux pitons.

 

Il me restait à tendre la corde pour étirer au maximum ses bras levés, je tirais très fort…… elle gémit……….Il fallait que le corps soit bien tendu pour mettre sa beauté en évidence.

 

Elle était superbe ainsi fermement étirée, seulement vêtue de sa petite culotte et de ses bottes, je positionnais sur ses bouts de seins des épingles à linge pour la stimuler.

 

Je retirais mon pantalon, elle vit ma queue tendue, je commençais à me masturber, elle se plaignait des pincements trop forts.

 

Je la laissais ainsi, décidant de redescendre pour aller fumer une cigarette et la laisser mijoter.

 

Je remontais une demi- heure après, elle avait la tête baissée, un peu lasse et engourdie par la position inconfortable, ses tétons étaient rougis par le serrement.

 

Je commençais le traitement en lui assènant violemment trois coups de fouet sur les reins.

 

Elle cria trop fort, on pouvait l’entendre…..

 

Je lui mettais alors son bâillon à boule et le serrais fortement.

 

Elle ne pouvait plus avaler sa salive qui se mit à couler aux commissures de ses lèvres.

 

Je reprenais les coups, frappant fort de manière bien cadencée, les lanières claquaient la peau, ses cris n’étaient plus audibles, étouffés par l’obstruction de sa bouche.

 

Elle bougeait sa tête dans tous les sens, le visage crispé par la douleur, les poings serrés, son corps allait d’avant en arrière, dans une liberté de mouvements restreints par les liens.

 

Après quinze coups, je m’arrêtais pour examiner son fessier et ses hanches, six ou sept stries rouges marquaient sa chair, son corps et son visage étaient en sueur.

 

Je passais un doigt sur le fond de son slip, il était humide, la séance commençait à lui faire de l’effet et je décidais de lui appliquer cinq autres coups, ça ferait vingt en tout c’était assez………

 

J’ appliquais les derniers coups de lanières en essayant d’éviter les zébrures déjà visibles, il ne fallait pas entamer la chair , juste la marquer.

 

Elle paraissait épuisée, ses jambes ne la portaient plus, ses genoux étaient pliés, elle était pendue par les bras.

 

Je lui ôtais les pinces à linge et rendais la liberté à sa bouche, elle tremblotait un peu……

 

Il faisait froid dans ce grenier.

 

Sans attendre, je la dépendais et lui laissant les chevilles maintenues écartées par les liens, je la mis à genoux les main sur le sol poussiéreux, et l’enculais durant dix minutes.

 

J’eus un très violent orgasme, elle m’avoua que elle, non.

 

Quand je regagnais le salon, la bonne odeur du pot au feu avait un peu envahi la pièce, j’allais dans la cuisine et soulevais le couvercle du faitout, la vapeur parfumée

 

monta sous la hotte me pénétrant les narines, j’allais me régaler.

 

Carole avait pris une douche et s’était enduite de Biafine sur les parties les plus échauffées de son dos, écartant sa robe de chambre elle me montrait ses fesses zébrées, j’avais cogné fort.

 

Je pensais déjà aux réflexions et interrogations de William ou Vanessa lorsqu’ils verraient les traces laissées par la flagellation sur son superbe cul.

 

Elle ne me fit aucun reproche et mit la table.

 

Je lui proposais après le délicieux repas d’aller faire une balade au bord de mer.

 

Marcher sur la plage, malgré un vent frais et s’ennivrer

 

d’air iodé ne pouvait que nous faire du bien.

 

Nous n’étions qu’à dix minutes en voiture.

 

La plage en cette saison était déserte, c’était marée basse, la mer était à peine visible sur l’horizon, son gris se fondait dans la couleur du ciel.

 

Deux couples emmitouflés et un solitaire en cirée jaune avaient fait le même choix que nous et marchaient avec effort, la tête baissée contre le vent, les pieds sur le sable humide.

 

Un enfant, sans doute avec sa mère, s’énervait sur son cerf-volant qui ne cessait de décoller pour s’écraser aussitôt, piqué dans le sable.

 

Au loin, remontant vers les dunes, des pêcheurs, sur un tracteur fatigué, tiraient une barcasse emplie de casiers à homards.

 

Des mouettes semblant nous interpeller criaient en plongeant sur les flaques oubliées par la mer retirée.

 

Le menu fretin piégé par le retrait de l’océan faisait le régal des oiseaux plongeurs.

 

On marchait ainsi pendant plus d’une heure, écoutant les

 

sifflements du vent dont les sons variaient au gré des bourrasques.

 

Je ramassais quelques coquillages, Carole des petits galets et surtout on en profitait pour respirer à fond l’air marin et admirer le paysage.

 

On regagnait la voiture, nous étions frigorifiés, la goutte pendante au nez et les mains gelées, mais satisfaits de notre promenade.

 

Sur la digue, un marchand ambulant défiant le froid, son étal couvert des fruits de la mer, vantait la fraicheur de ses produits.

 

On achetait une bourriche d’huîtres en prévision du lendemain soir.

 

Rentrés, on allumait la cheminée et s’installant dans le canapé on dégustait un café bien chaud et bien venu.

 

Je crois qu’ensuite nous avons regardé un film à la télé.

 

Il était dix sept heures quand on allait faire une sieste très tardive.

 

On se réveillait à presque dix neuf heures, je regardais les fesses de Carole, les rougeurs étaient encore bien visibles,mais elle en souffrait moins.

 

Regardant sa chatte je l’encourageais à aller s’enduire de crème épilatoire afin d’être parfaite pour le lendemain soir.

 

Je la regardais beurrer son intimité avec une petite spatule et attendre patiemment que le produit fasse son effet avant d’aller se rincer sous la douche.

 

Je lui avais demandé de rester debout face à moi, les jambes écartées attendant que le produit dissolve ses poils renaissant.

 

Elle était restée ainsi les cuisses ouvertes, les mains derrière la tête, pendant un bon quart d’heure durant lequel ma verge n’avait cessé de gonfler malgré la désagréable senteur de la crème.

 

A peine était elle rincée, que je lui ordonnais de s’allonger sur le dos et regardant ses lèvres lisses et gonflées, à nouveau je plongeais mon membre dans sa moule.

 

Je la chevauchais longtemps en lui pinçant fortement les bouts de seins, elle a fini par jouir.

 

Seulement vêtus de nos robes de chambre, on se relevait pour aller manger.

 

Carole réchauffait le repas du midi pendant que je regardais les infos, c’était pareil que les jours précédents. Seule la présentatrice au teint mat, le regard suggestif et la poitrine évocatrice annonçait une météo changeante .……… Enfin un léger redoux pour les jours à venir.

 

Tous les deux rassasiés, on alla se glisser sous la couette et tombait rapidement dans les bras de Morphée, était-ce l’air de la mer qui nous avait fatigué?

 

Au réveil je me rendais compte que la présentatrice Méteo n’avait que ses seins de vrais,car contrairement à ses prévisions, il pleuvait…….

 

Après une bonne douche, c’est sous le parapluie, pour en éviter une deuxième, que j’allais chercher des croissants.

 

Il n’était pas loin de huit heures.

 

Sur le trottoir, des mères emmenaient leurs progénitures à l’école.

 

L’une, surprise par la pluie et trempée tenait son gamin encapuchonné par la main, l’autre, inquiète, avait oublié son parapluie et vociférait sur son mioche turbulent qui courrait dix mètres devant elle en faisant des singeries, une troisième poussait un landau trop petit pour son occupant dont les bras et les jambes dépassaient de la charrette.

 

Elles venaient toutes de la cité voisine et passaient dans ma rue qui était le chemin le plus court pour rejoindre l’école maternelle.

 

C’était une des images de la France qui se lève tôt………………..

 

Le café était sur la table, la confiture de marmelade et le beurre aussi, Carole attendait les croissants.

 

Il nous fallait maintenant penser à organiser notre soirée

 

et une partie de la nuit prochaine, laquelle promettait d’être très chaude.

 

On était en accord sur un point, il fallait que l’on dorme cet après- midi.

 

Carole utilisa sa matinée à faire le ménage, passer l’aspirateur dans notre chambre, changer les draps, cirer l’escalier, toiler les carrelages du rez de chaussée, et nettoyer les cuvettes des toilettes, toutes ces taches que les femmes savent parfaitement accomplir seules.

 

Non! Il n’y avait pas de repassage.

 

J’en profitais pour aller flâner en ville, la pluie avait cessé.

 

Je rencontrais un ancien collègue perdu de vue depuis des lustres, ce fut l’occasion de boire un café ensemble et d’évoquer d’anciens souvenirs.

 

Il n’avait pas eu de chance sa femme l’avait quitté, je pensais le contraire me souvenant de sa femme…………. C’est étrange ce phénomème de cristallisation………….

 

Je lui remontais le moral par un classique

 

« Une de perdue dix de retrouvées » puis lui serrant la main et lui tapotant l’épaule, je décidais de rentrer.

 

Il était midi, Carole avait presque terminé son travail et je lui demandais ce que nous allions manger.

 

Elle ne savait pas ….

 

C’est fréquent chez les femmes.

 

Je lui proposais de réchauffer le pot au feu, il en restait.

 

Je l’envoyais chercher du pain, j’avais oublié d’en prendre avec les croissants.

 

Réchauffé, il était meilleur que la veille.

 

J’allais m’allonger pendant que Carole débarrassa la table et fit la vaisselle.

 

Je commencais à songer à la soirée, il fallait vraiment que je me repose, vingt minutes plus tard Carole me rejoignit se déshabilla et se colla contre moi.

 

La sieste dura deux heures, on se réveillait en pleine forme.

 

Il nous restait à ouvrir les huîtres, je l’aidais en la regardant.

 

Carole préparait une mayonnaise et une vinaigrette, elle alla à la boulangerie, nous avions oublié le pain de seigle indispensable.

 

Il était dix huit heures, la table était mise, le champagne et le bourgogne aligoté étaient dans le réfrigérateur.

 

Carole avait mis des sous vêtements très sexis et une petite robe aguichante.

 

Je remettais des bûches dans la cheminée, la baguette d’encens était prête et n’attendait que la flamme de mon briquet.

 

Dans la chambre, des bougies neuves, droites dans les bougeoirs, attendaient elles aussi d’être allumées.

 

On buvait un apéritif en attendant nos invités, Carole sélectionnait des disques.

 

CHAPITRE 9

 

 

 

Dix neuf heures, on frappait à la porte, c’était William.

 

Il avait l’air en pleine forme, il est vrai qu’il ne travaillait pas en cette période, sans cesse en galère à la recherche de stage ou de formation comme beaucoup de jeunes de son âge.

 

On parlait de la semaine passée, je lui relatais rapidement le double dépucelage de celle que l’on attendait, insistant sur les détails croustillants.

 

Il était tout excité et regardant Carole, précisait que deux femelles en même temps ne lui faisait pas peur, ajoutant que depuis sa dernière visite il s’était contenté de se branler en pensant à ma femme.

 

Vingt minutes passèrent, on frappait à nouveau à la porte.

 

Carole alla ouvrir, la future défoncée était à l’heure, se doutait- elle de tout ce qu’elle allait prendre au cours de la soirée?

 

On présenta nos invités, un sifflement échappa à William.

 

- Canon !…….  Lâcha-t-il.

 

Vanessa eut un sourire un peu gêné, et nous fit la bise.

 

On s’asseyait tous, j’allais chercher le champagne et allumais l’encens.

 

La donzelle avait fait fort, nous étions en hiver, mais pas ses cuisses……….

 

Elle avait mis une jupe qui normalement ne devait pas sortir de sa garde robe avant le mois de juillet, quant au chemisier c’était plutôt un aoûtien.

 

Elle n’avait pas de soutien gorge, et n’en avait pas besoin.

 

Les yeux de William naviguaient sans la moindre discrétion allant des cuisses serrées de la jouvencelle à sa poitrine.

 

Carole qui avait remarqué le manège, remonta légèrement sa robe et écarta sensiblement ses genoux.

 

Le stratagème fonctionnait, William ne savait plus où regarder.

 

Je devinais un renflement énorme sous son jean, il allait falloir passer à table assez vite……………………

 

On vidait une bouteille et demi de champagne et Carole annonça les huîtres, soulevant l’enchantement sincère de tous.

 

On s’installait à la tablée et se régalait de la réelle fraicheur promise par le marchand.

 

Une heure plus tard, les huîtres n’était plus qu’un tas de cailloux dans le saladier au centre de la table. La bouteille de bourgogne vidée, Carole proposa des sorbets citrons suivis d’un café.

 

On terminait avec un vieux calvados de l’âge de Vanessa.

 

C’est Carole qui ouvrait le bal, proposant à Vanessa de monter avec elle dans la chambre pour se reposer un peu.

 

La partie allait commencer, on les laissait un quart d’heure seules, pendant que sirotant un dernier Calva, j’expliquais à William qu’il allait falloir les bourrer par tous les orifices et le plus longtemps possible.

 

Il m’assura être en pleine forme et prêt à y passer la nuit.

 

- C’est pas souvent qu’on a deux superbes bombes en même temps. dit-il.

 

J’étais satisfait du compliment.

 

- Alors , allons y!  lui dis-je.

 

On rejoignait les deux filles, ces deux salopes étaient déjà en soixante neuf en train de se bouffer la matrice, la plus jeune en dessous.

 

J’allumais les bougies, et on se déshabillait à toute vitesse.

 

J’admirais le cul légèrement cambré de Carole, dans la semi obscurité on ne voyait pas les rougeurs du fouettage.

 

Sa tête n’était plus visible elle avait disparu entre les cuisses de la petite garce dont on n’apercevait plus que les yeux et le nez collé sur l’anus de ma femme.

 

Le mouvement rapide de la tête de l’une et des reins de l’autre attestaient de la vigueur avec laquelle les deux goulues se délectaient de leur jus.

 

William touchait sa queue devenue énorme et se pencha sur le visage de Vanessa pour mieux la voir lécher le con de Carole.

 

Leur corps enchevêtrés ne cessaient d’onduler sur le lit accompagnés des grognements qu’elles émettaient sans cesse.

 

On les laissait ainsi se bouffer, conscients qu’elles se préparaient en fait pour nous.

 

On décidait de s’occuper des gouines, et interrompait leurs léchages de minous.

 

Il fallait maintenant passer à des choses plus sérieuses.

 

Les deux cochonnes se retrouvaient assises sur le lit, le visage barbouillé de leur crème respective et paraissaient complètement absentes.

 

Je leur donnais un gant de toilette humide, elles essuyèrent leur minois tout collant.

 

On leur demandait de s’allonger sur le dos les jambes légèrement écartées pour pouvoir se régaler de leurs corps.

 

Leurs conques rasées montraient des lèvres gonflées,

 

bien collées l’une à l’autre, les petites lèvres restaient cachées par le serrement, seule la fente de Carole apparaissait plus longue que celle de Vanessa.

 

On décidait de les tirer à pile ou face, pour savoir dans quel ordre on allait les forniquer.

 

Je lançais la pièce……….Face!………Je devais m’occuper de Vanessa.

 

Elles se mirent ,côte à côte, en levrette.

 

On prenait position derrière leurs croupes.

 

William aperçut alors les marques sur les reins de Carole, je lui fis un petit signe lui signifiant de ne rien dire.

 

On comptait jusqu’à trois…et les pénétrait d’un coup sec et précis.

 

Leur moules étaient plus que prêtes, humides et grasses,

 

on rentrait dedans sans effort.

 

La danse infernale commençait, tels deux coureurs cyclistes montant un col en danseuse, c’était à celui qui allait le plus vite, on donnait des coups de reins comme si on tapait sur un pédalier.

 

Les efforts allaient croissants, on essayait de tenir la cadence, l’un essayant sans cesse de dépasser l’autre.

 

C’était une réelle compétition, comme si il fallait un vainqueur à l’arrivée.

 

Vingt minutes plus tard, c’est William qui remportait l’étape, Carole la chatte complètement défonçée se mettait à hurler de plaisir en même temps que le vainqueur, qui éclaboussait son intérieur.

 

Je franchissais la ligne d’arrivée avec une minute de retard, la petite salope se mit à crier, tordant son cul dans tous les sens pendant que je me vidais.

 

La course était achevée, William, essoufflé et en sueur, essayait de reprendre sa respiration, moi aussi.

 

On s’allongeait tous les quatre, reprenant notre souffle.,

 

Les filles avaient le sourire des satisfaites.

 

Elles se levaient, marchant en canard, une main entre leurs cuisses pour retenir le foutre qui coulait et se dirigèrent vers la salle de bains.

 

Je félicitais William pour sa performance.

 

-J’avais l’impression que tu franchissais un col! lui dis- je.

 

-Ben oui! Le col de l’utérus.

 

Il éclata de rire…………

 

Elles revenaient dans la chambre, nos phallus étaient à nouveau dressés, prêts à les fourrer à nouveau.

 

On leur expliquait qu’on allait maintenant les prendre par le petit, mais dans la position du missionnaire.

 

Couchées sur le dos, les jambes pliées, les genoux maintenus sur les seins, elles offraient ainsi une vue imprenable sur leurs fondements.

 

Gardant chacun la même partenaire, on commençait par leur lécher la rondelle, puis très vite se mettant en position d’attaque, on les perçait en même temps.

 

On enfonçait nos membres à fond dès la première pénétration.

 

Vanessa cria plus fort que Carole dont le trou était habitué à de violentes incursions.

 

Les filles étaient pliées et avaient du mal à respirer.

 

On prenait notre temps, limant tranquillement, ressortant et rentrant de temps à temps.

 

On prenait notre temps, échangeant nos impressions.

 

Un quart d’heure passait, et je proposais à William d’essayer le trou de Vanessa afin qu’il puisse comparer.

 

On changeait de place, il entrait dans le cul juvénile et s’exclama aussitôt.

 

- Elle est vachement serrée!…La salope. 

 

Il parût satisfait du changement de fourreau et s’acharna davantage à l’agrandir.

 

De mon coté je finissais tranquillement de fourrer mon étui ,qui bien que familier, n’en restait pas moins accueillant et confortable.

 

Je jouissais le premier, et me retirant je regardais contemplatif mon voisin, dont le travail dura encore plus de vingt minutes.

 

Le visage de la petite garce était crispé, elle gémissait plus qu’elle ne jouissait et répétait sans cesse;

 

- Han…Han…Ça me brûle……J’ai mal! 

 

Sourd, William continuait et continuait………alternant rapidité et lenteur, dosant intelligemment les secousses. Carole et moi étions admiratif sur sa capacité à tenir un tel rythme.

 

Il éjaculait en criant, et quittant lentement le cul brûlant il demanda à Carole de lui nettoyer le pénis tout englué de cyprine et autres consistances, elle obéit et je me délectais de la regarder faire avec tant de soins, fier de l’avoir bien dressée.

 

Je félicitais William.

 

Pendant ce temps, Vanessa était allée mouiller le gant de toilette et se l’appliquait sur sa douloureuse pastille qu’elle tamponnait en gémissant.

 

Carole relacha le jus dans les draps tandis que Vanessa alla se libérer sur les toilettes.

 

William me remercia de lui avoir prêté l’ancienne pucelle.

 

Les bougies avaient fondu, nos priapes un petit peu aussi, on se reposait examinant les rougeurs de l’anus de Vanessa, compatissant………

 

On avait dû s’endormir, car quand j’ouvrais les yeux le réveil affichait

05:04.

Les trois dormaient, Vanessa et Carole collées l’une contre l’autre et William à l’hôtel du cul tourné.

 

Je décidais de réveiller Carole, endormie à coté de moi, en lui introduisant la première phalange de mon index dans le cul.

 

Elle commença à tordre sa croupe et se réveilla.

 

On se levait tous les deux, laissant nos invités dormir encore.

 

On se préparait un petit café et rallumait le feu dans la cheminée.

 

Carole était satisfaite de sa soirée et me confiait avoir particulièrement apprécié la queue de William plus grosse que la mienne………

 

Je la traitais, en rigolant, de grosse salope……lui promettant une punition pour ses propos que je jugeais vexatoires.

 

On décidait du programme de la journée, je pensais qu’il fallait accentuer le dressage de la petite nouvelle.

 

Elle était d’accord avec moi et je proposais une promenade en campagne durant laquelle j’envisageais de les promener à poil en laisse comme deux chiennes.

 

Un peu réticente au début, à cause de la température, elle finit par accepter .

 

Je lui demandais de me pratiquer une fellation, ce qu’elle fit avec application ,comme d’habitude, se mettant nue, à genoux et les mains croisées dans le dos.

 

Elle pompait rapidement, sur toute la longueur du pénis et avala soigneusement la semence matinale.

 

Vers sept heures, on montait dans la chambre réveiller nos invités.

 

Une surprise nous attendait, William était en train de monter la gamine, il la défonçait comme un malade, elle gloussait et râlait, les jambes croisées sur les reins du mâle lui empêchant tout retrait possible.

 

On restait debout, regardant les fesses de William monter et descendre à vive allure.

 

On ne savait pas depuis combien de temps il l’avait introduite, mais le film en couleur et en relief dura encore un bon quart d’heure.

 

On les entendit gueuler en même temps……….

 

-« Eh! Les égoistes, on fait cavaliers seuls?  lâchais- je à voix haute.

 

Il se retirait de la chatte et se retourna en nous souriant.

 

- Qu’est-ce que je viens de lui mettre! Elle est vraiment bonne! 

 

Vanessa, impudique, passa un bout du drap entre ses cuisses et s’essuya.

 

- Allez les jeunes! Debout c’est l’heure du café. dit Carole, toute égayée par le spectacle.

 

Pendant que les filles terminaient leur café, j’allais avec William chercher des cigarettes au Tabac du coin.

 

Sur le chemin, je lui expliquais mon programme, il était emballé à l’idée de promener la petite en laisse, avouant qu’il n’avait jamais fait ça, mais que ça devait être très excitant.

 

J’acquiesçais, lui précisant qu’un parcours de cinq cent mètres suffirait pour nous mettre en appétit.

 

On rentrait, les filles faisaient la vaisselle en papotant.

 

Je montais avec William dans la chambre, et lui fis découvrir dans un tiroir de la commode, les trésors que cachait Carole.

 

Colliers de cuir, menottes, plugs anaux, godemichets de toutes tailles, martinets, laisses et cordelettes aux couleurs variées………. Il était épaté.

 

- Et ben! Ya de quoi faire!…. dit-il.

 

On descendait une partie de ce matériel et expliquait nos intentions, les filles étaient attentionnées.

 

Vanessa d’abord curieuse, parût soudain soucieuse, elle examinait les ustensiles sous toutes leurs faces.

 

La grosseur de l’un des godes l’inquiétait plus particulièrement.

 

Carole la rassura lui affirmant un peu culottée qu’elle allait apprécier.

 

On partait donc pour notre petite excursion.

 

Je me souvenais que la première fois ma femme n’avait pas aimé et que c’est contrainte qu’elle avait achevé le parcours sous les coups de martinet.

 

Je la remerciais d’un regard complice des encouragements adressés à la future soumise.

 

Il était presque dix heures .

 

On partait en voiture, à quelques kilomètres du domicile, dans une petite forêt peu fréquentée en cette saison.

 

J’en connaissais bien les petits chemins pour les avoir souvent pratiqués.

 

Le ciel était couvert et en pénétrant dans le sous bois la luminosité baissa encore.

 

Il ne faisait pas très chaud, mais c’était supportable. J’avais prêté à William une paire de bottes et nous avions mis des pulls.

 

On laissait la voiture à l’orée du bois, et on empruntait un petit chemin descendant.

 

Au bout d’environ deux cent mètres, cachés par une épaisse végétation, on ordonnait aux filles de se mettre complètement à poil.

 

- Mais il fait froid!   Rechigna la plus jeune.

 

- Plus vite que ça!  Insista William.

 

Les deux femelles, se déshabillaient lentement, nous tendant leurs vêtements.

 

Du sac à dos que portait William, on sortait notre attirail et y fourrait leurs jeans, slips, pulls, chaussettes et baskets.

 

Elles étaient enfin nues, les seins tendus, les tétons raidis par le froid, magnifiques de beauté sous le regard des grands arbres et des fougères qui semblaient se plier pour mieux les contempler.

 

On leur passait leurs colliers et attachait leurs laisses.

 

- Maintenant à quatre pattes! Salopes!….. Criais-je.

 

Elle s’excutèrent immédiatement, c’est alors qu’on leur plaça à chacune un plug anal.

 

- En avant! Et serrez bien le cul, la première qui perd son plug recevra cinq coups de fouets. 

 

Ainsi prévenues elle entamèrent leur périples, cherchant au début à poser les mains là où le sol était le moins encombré d’orties ou de petites ronces.

 

Elles comprirent vite qu’elle n’avaient guère le choix, le chemin de la forêt ce n’était pas de la moquette.

 

On avait prévu des laisses de plus de deux mètres de longueur, ce qui nous laissait assez de recul pour les regarder tordant leurs culs et trainant les genoux sur les feuilles mortes.

 

Elles avançaient avec difficultés, on tirait de temps à autre sur la corde pour qu’elles redressent la tête.

 

Le spectacle était d’un ravissement total.

 

Un écureuil perché sur une haute branche regardait, l’air étonné, l’étrange procession en décortiquant une noisette.

 

En dix minutes, elles avaient parcouru une centaine de mètres, quand soudain William faillit marcher sur le plug

 

que Vanessa venait de perdre.

 

On arrêtait la caravane, la punition tomba brutalement sur les reins de celle qui avait desserré son sphincter.

 

Je lui appliquais sévèrement les cinq coups de fouet. Sous la douleur ses mains glissèrent et elle s’affala de tout son long sur les feuilles mortes et humides, ses cris déchirèrent le silence de la forêt, des corneilles effrayées jusque là silencieuses s’envolèrent en craillant.

 

William la redressa en tirant fortement sur sa laisse, et lui replaça le gode dans l’anus.

 

La pauvrette était toute sale, les débris de végétaux qui jonchaient le chemin restaient collés sur son ventre et ses seins.

 

Elle avait surtout retardé le convoi, il fallait s’en souvenir pour la punir dès notre retour.

 

Sur le parcours, on fut ralenti, par un passage boueux et caillouteux qui nous fit perdre encore un peu de temps.

 

Plus loin, on s’arrêtait pour les obliger à brouter quelques champignons comestibles qu’elles avalaient difficilement. L’équipée allait bon train, Carole terminait le parcours sans avoir lâché l’instrument planté dans son cul.

 

William semblait déçu, il aurait bien voulu la cravacher à

 

son tour.

 

Vanessa était plus propre au retour après que nous ayons passé le petit ruisseau qui coulait dans la forêt.

 

On avait dû lors du franchissement tirer sur la laisse verticalement pour leur éviter d’avoir le visage dans l’eau. Traverser le petit ru nous avait aussi permis de nettoyer nos bottes.

 

L’agréable randonnée s’achevait, on avait fait une boucle et arrivait au point de départ.

 

La paume de leurs mains et les genoux avaient quelques insignifiantes coupures laissées par les rugosités de certains passages.

 

La promenade avait duré une heure et nous n’avions fait que cinq-cent mètres environ.

 

Nos membres souffraient d’une forte érection, pour calmer notre douleur et réchauffer nos chiennes, on les baisait en levrette à même le sol, moi sur la jeune et William forcément sur Carole.

 

Cela ne durait que quelques minutes car, nos pantalons baissés, on sentait l’air froid nous caresser les fesses ce qui n’était pas très confortable. On aidait les soumises à se rhabiller et on regagnait la voiture.

 

Dans la voiture Vanessa tremblotait et regardait l’intérieur de ses mains légèrement griffées.

 

- T’inquiète! C’est rien!  lui dit William.

 

- Fait pas la chochote! T’en verras d’autres!……. 

 

Il disait vrai.

 

De retour à la maison, les filles prirent ensemble une douche bien chaude et Carole nettoya les mains et les genoux de Vanessa avec un coton imbibé d’alcool.

 

Elles redescendaient en sortie de bain, leurs jolis cheveux bruns encore tout humides.

 

Carole retroussa la robe de chambre de Vanessa, pour nous montrer les cinqs traits rouges bien marqués sur ses fesses.

 

- Eh ben dis donc!  S’exclama William.

 

- Tu l’as pas loupée!…… 

 

Effectivement, elle était marquée pour plusieurs jours.

 

Il était bientôt midi.

 

On envoyait les femmes dans la cuisine nous préparer un repas rapide.

 

On attendait tranquillement que tout soit prêt, en fumant et regardant la télé.

 

A midi, je fus obligé d’houspiller les filles, rien n’était prêt et la table n’était même pas mise.

 

Le laxisme affiché m’énervait un peu, je décidais de les priver de repas et de les faire monter de suite dans le grenier.

 

Leur lenteur à nous servir méritait une correction.

 

Elles se retrouvaient, en robe de chambre, dans les combles que découvrait Vanessa.

 

- C’est pour faire quoi? dit-elle.

 

Carole avait compris, elle paraissait crispée ce qui n’était pas son habitude.

 

William découvrait la pièce, il s’était assis sur une malle.

 

- C’est sympa ici, on peut faire pleins de trucs!   

 

Sur ordre, les deux filles retiraient leur vêtement. 

 

Je regardais Vanessa et lui annonçais que c’était ici qu’elle allait recevoir son baptème de soumise.

 

Je demandais à William d’aller chercher dans son sac et dans le tiroir de la commode tous les accessoires nécessaires au bondage.

 

Quelques minutes plus tard, Carole passait les bracelets aux poignets et aux chevilles de Vanessa, puis son collier.

 

Pendant cette préparation, avec l’aide attentive de William, j’accrochais les cordes de suspente sur la poutre habituelle.

 

Je disposais cette fois deux cordes afin que ses bras soient écartés.

 

Cette première partie nous permit d’attacher la soumise les bras en l’air, sans tirer pour l’instant. Carole lui attachait les chevilles aux pitons écartés du sol.

 

Elle était en croix, sans tension des cordes.

 

Je passais ensuite, une cordelette de faible section, entre ses cuisses et perpendiculaire à ses jambes écartées.

 

Chacun à son extrémité William et moi on attachait la fine corde aux murs à des crochets déjà prévus, en respectant un angle entre ses jambes d’environ cent vingt degrés.

 

Ainsi entravée, elle nous offrait déjà un excitant spectacle.

 

Prenant avec William chacun le bout des cordes pendantes, on tirait dessus en même temps à force égale……

 

Ses bras montèrent aussitôt, s’élevant vers la poutre, puis, tirant plus fort, tout son corps s’allongea.

 

On l’élevait ainsi jusqu’au moment où seul le bout de ses pieds touchait le sol.

 

Elle était en étirement presque parfait.

 

Elle commençait à geindre, prétextant que ça tirait trop fort.

 

On fixait alors solidement au sol les extrémités des cordes pour ne pas relacher la tension.

 

Elle était vraiment superbe, ainsi tendue, son corps semblait s’être allongé, elle s’en trouvait grandie.

 

Il s’agissait maintenant de tendre la fine cordelette disposée entre ses cuisses.

 

Je demandais à Carole de la lui passer entre les lèvres

 

mettant la ficelle directement en contact avec l’intérieure de sa chatte.

 

Aidé de mon comparse, chacun à un bout, on mettait à nouveau en tension très forte, elle se plaignit à nouveau de ce trop fin contact coupant qui lui entrait dans la vulve. L’angle choisi était parfait, son dos était suffisamment dégagé pour appliquer le fouet.

 

Elle bougerait forcément dès les premiers coups de lanières, la cordelette sur laquelle elle se retrouvait à cheval l’empêcherait de trop bouger d’avant en arrière, sauf au risque pour elle de sentir le frottement brûlant de ce que nous venions de lui placer dans l’entrejambe.

 

Elle ne devrait donc, ainsi harnachée, que peu bouger et en être que plus soumise.

 

Sa tête, et son cou habillé du large collier, restaient libre de tous mouvements.

 

J’examinais sa vulve, les lèvres s’étaient refermées sur la petite corde sévèrement tendue dont la pression coupante s’exerçait aussi sur sa rondelle anale.

 

On vérifait la tension de l’ensemble, il était difficile de tirer davantage.

 

Il fallait assurer les derniers préparatifs, je demandais à William de lui enfoncer un plug métallique de fort diamètre dans l’anus pour le protéger.

 

Il eut un peu de difficulté à l’enfoncer à cause de la cordelette et de la rebelle contraction, mais y parvint.

 

- Celui là! elle va pas le perdre, elle est un peu sèche mais la ficelle le retient. dit-il l’air amusé.

 

Carole avait prise la place de William, elle était nue, assise sur la malle, les jambes magnifiquement croisées et regardait Vanessa…..Peut-être un peu envieuse……..

 

Il restait encore à mettre en place le bâillon.

 

Je confiais ce petit travail à Carole, et lui précisais de fortement serrer, car elle allait sûrement gueuler dès le début de la séance.

 

La tête de Vanessa bougeait pendant la pose, elle refusait l’objet en incursion dans sa bouche, Carole sans brutalité parvint à le poser.

 

Je proposais à William un dernier effort, j’ouvrais un petit sac contenant des pinces à linges en plastique de toutes les couleurs.

 

- A toi ! Met les pinces sur les seins et partout où tu peux……. 

 

Il se fit un malin plaisir de décorer la pauvrette qui en quelques minutes, pincée sur les endroits les plus sensibles de son anatomie, était transformée en sapin de Noël.

 

Elle commençait à souffrir, elle essayait de parler, les sons sortaient de son nez, on ne comprenait rien.

 

Après avoir vérifié la qualité des nœuds et la rigidité des cordes, je décidais qu’on la laisse seule et proposais à Carole et William de redescendre au salon pour boire une petite coupe de champagne.

 

J’avais demandé à Carole de s’habiller d’un ensemble de sous-vêtements blancs et de mettre un porte-jarretelles, des bas blancs et ses bottes de cuir noir.

 

Ses seins pointus restaient nus, son slip sans couture collé sur le sexe montrait des lèvres charnues et rebondies, soulignant davantage le dessin de la fente.

 

Elle était magnifique ainsi vêtue, ce qui n’échappait pas à

 

William, qui se permettait de dire,

 

- C’est quand qu’on passe à l’action? 

 

On sirotait tranquillement notre champagne puis je levais la punition de Carole et on mangeait rapidement tous les trois.

 

Une bonne heure s’était écoulée, on remontait au grenier.

 

Vanessa était douloureusement suspendue, le regard un peu perdu.

 

Elle n’avait pas bougé les liens étaient trop tendus.

 

Je m’empressais de vérifier la rigidité des cordes, rien ne s’était desserré.

 

La cordelette entre les cuisses avait par l’intense pression, fait gonfler sa vulve.

 

Elle était prête à subir l’épreuve, William se caressait déjà par-dessus son jean et moi je ressentais mon érection qui allait grandissante.

 

Je tendais alors le fouet à Carole et lui ordonnais de frapper fort un minimum de vingt cinq coups.

 

- Mais ! Je , je ………  dit-elle.

 

- Il n’y a pas de mais, c’est toi qui frappe! insistais je.

 

Elle commençait, un coup ,puis deux, puis trois………..

 

Le corps commençait à se tortiller, la tête bougeait violemment dans tous les sens……

 

Le visage se crispait à chaque application comme pour pallier à l’insupportable douleur.

 

Elle était au supplice, on entendait que des cris assourdis étouffés par le bâillon et l’agréable sifflement régulier des lanières de cuir.

 

William avait sorti sa verge et se branlait, Carole frappait de plus en fort, je comptais à haute voix chaque coup porté, …….neuf………dix………..onze……douze….

 

Carole flagellait en alternant le ventre et le bas des reins, évitant les seins toujours pincés.

 

Au douzième coup, les rougeurs apparaissaient, de plus en plus visibles.

 

Excitée, Carole se mit à cogner plus fort.

 

Les épingles à linge posées sur son ventre jonchaient le sol, elles avaient volées dans la pièce, arrachées par les lanières.

 

La quasi suppliciée évitait les mouvements d’avant en arrière, redoutant la brûlure provoquée par le cordon prisonnier dans sa vulve.

 

Dix huit , dix neuf…vingt……

 

William s’était rapproché de Vanessa et à vingt cinq il éjaculait abondamment en de nombreuses saccades sur la cuisse de la pauvrette.

 

On avait cette étrange impression que ses couilles n’arrêtaient pas de se vider tant les jets étaient nombreux.

 

Le sperme coulait sur la cuisse et allait lentement le long de la jambe jusqu’à tacher le sol.

 

Carole exténuée, lâchait le martinet, ses yeux brillaient, son front était humide.

 

Je sortais ma queue et l’introduisais dans sa bouche.

 

Elle ne suçait pas longtemps, elle se mit à toussoter quand je lui déposais dans la gorge une quantité à peu près équivalente à ce que william venait de cracher.

 

Vanessa avait la tête pendante et ballante, elle était en sueur et n’émettait aucun son, elle aussi paraissait exténuée.

 

Je lui ôtais son bâillon tout englué de bave, elle respira bruyamment par la bouche, semblant soulagée.

 

William coupa la cordelette qui lui tranchait ses intimités, elle expirait à nouveau dans un long souffle de soulagement, une partie de ses douleurs disparaissaient.

 

Toujours pendue, on regardait et savourait les traces bien marquées qui couvraient sa peau.

 

Soudain, un bruit inattendu: elle venait de lâcher le gode anal qui heurtait le sol et roulait sur le parquet….

 

William s’empressait de le ramasser et de le sentir, l’air ravi par le délicat parfum duquel s’était imprégné l’objet durant son intime séjour.

 

Rien de tel qu’une femme pour en lyncher une autre, l’efficacité toute féminine était là, bien visible sur les chairs rougies.

 

Carole constatait les dégâts….Etonnée.

 

Il restait à délier la soumise et à enduire les parties les plus atteintes d’une crème apaisante.

 

On laissait à Carole le soin de remplir ce travail.

 

Elle emmenait Vanessa dans la chambre et la soignait.

 

William avait beaucoup apprécié et félicitait Carole.

 

Il était presque seize heures, Vanessa n’avait pas mangé.

 

Les femmes étaient maintenant assises avec nous dans le salon, Carole proposait à notre invitée un petit potage ou autre chose dont elle aurait envie.

 

Elle choisie un sandwich jambon beurre et une bière.

 

J’expliquais à la jeunette, que maintenant qu’elle avait passé son brevet de soumission, elle faisait partie de notre petit clan.

 

Je lui précisais qu’en tant que soumise, elle devrait à partir d’aujourd’hui se montrer toujours très obéissante aux ordres de l’un de nous trois.

 

L’ensemble des exigences qui lui serait imposées devait être accepté immédiatement et sans rechigner.

 

Le non respect de ces règles élémentaires se traduirait aussitôt par une punition plus ou moins sévère selon la gravité du refus.

 

Je restais bien sûr le seul juge pour choisir la punition après que les partenaires m’aient signalé la faute.

 

Elle devait maintenant tout accepter, en n’importe quel lieu , n’importe quel jour, à toutes heures, décidés par nous.

 

Elle croquait dans le sandwich………….

 

Je lui dressais verbalement une liste non exhaustive des demandes qui pouvaient lui être faite.

 

A savoir:

 

-Acceptation de tous rapports sexuels par les orifices choisis par nous.

 

-Acceptation de coït avec tout individu mâle ou femelle présenté par nous.

 

-Interdiction d’avoir des rapports sans notre accord.

 

-Tenue à jour d’un carnet pour noter tous fantasmes qui pouvaient lui traverser l’esprit en notre absence.

 

-Obligation de noter ses masturbations solitaires sur ce même carnet en précisant l’heure et le jour.

 

-Nécessité de demander notre accord pour mettre ou non des slips chaque début de semaine.

 

 

 

La règle générale étant d’être à disposition de jour comme de nuit dans l’heure qui suit la demande en dehors de ses heures de travail.

 

- Obligation de nous signaler ses périodes de menstrues soit en se déplaçant au domicile soit en téléphonant.

 

Elle écoutait attentive, je lui demandais son accord.

 

Elle mordait à nouveau dans le sandwich………….

 

J’insistais sur le fait que les énumérations étaient très loin d’être complètes, qu’il s’agissait seulement de généralités de base.

 

- Je suis d’accord! dit-elle.

 

Je demandais à Carole d’aller chercher dans mon bureau

 

un petit carnet.

 

Elle terminait son repas et avalait un verre de bière.

 

Elle me posait alors une question.

 

- C’est quoi les punitions? Si je n’obéis pas. 

 

Carole et William me regardaient, interréssés par la question et attendaient la réponse.

 

Je buvais une gorgée de mon apéro et allumais une cigarette, aussitôt imité par William.

 

- Ma petite poulette, il me semble que tu en as eu un exemple tout à l’heure? 

 

Je lui rappelais que vingt cinq coups de fouets ce n’était rien, que certaines punitions pouvaient en comporter davantage, que le choix des lanières avait aussi des effets différents, qu’elle pouvait aussi être condamnée à des

 

bondages plus intenses, notamment sur ses seins, ou autres parties sensibles de son corps, que des humiliations, qu’elle ne saurait imaginer, pouvaient lui être imposées.

 

Je terminais en lui disant, qu’il serait trop long de tout énumérer, que c’était presque sans fin.

 

Elle paraissait satisfaite de mes réponses, et s’engageait à nouveau à respecter nos désirs.

 

Je lui demandais de se mettre nue et de tourner lentement sur elle-même pour regarder les traces du fouettage………J’en profitais pour la prendre en photo.

 

Ce n’était pas bien méchant………

 

- Ya pas grand-chose! J’aurais cru pire…… dit William.

 

Il est vrai que la crème masquait sensiblement les traces,

 

elle les ressentirait sûrement dans la nuit et le lendemain.

 

On terminait l’après-midi en jouant au scrabble, pas question de sortir, le temps n’était pas beau.

 

A dix-huit heures, Vanessa devait partir ,elle ne resterait pas dîner avec nous.

 

Elle avait promis à sa grand-mère de passer la voir et les visites s’achevaient à vingt heures.

 

Je lui demandais juste avant son départ de sucer William.

 

- Ça je veux bien! C’est chouette! s’exclama-t-il.

 

La nouvelle soumise se mettait alors à genoux et pompait jusqu’à éjaculation.

 

Ça n’avait duré que dix minutes, elle avalait conscienseusement.

 

- N’oublie pas ton carnet!  lui dit carole, attentive.

 

On l’accompagnait jusqu’à sa voiture, elle nous certifiait être très contente d’avoir été avec nous durant ces quelques heures.

 

Elle ajoutait, à ma grande surprise, qu’elle se sentait maintenant être devenue femme.

 

Carole la regardait, surprise par le rapide apprentissage.

 

Je lui rappelais ma volonté et ses accords, elle baissait les yeux et m’assurait ainsi de sa servitude.

 

Elle fit un bisou sur la bouche à William, en lui disant,

 

- A bientôt!…. J’espère.

 

Je soupçonnais là un petit béguin naissant.

 

 

CHAPITRE 10

 

 

 

William acceptait de rester avec nous le reste de la semaine, il n’avait aucune obligation sauf de se rendre à un rendez -vous à pôle emploi.

 

On passait la soirée à parler de notre Vanessa, et on échaffaudait à tour de rôle, les traitements que nous songions lui faire subir.

 

Chacun y allait de ses idées, même Carole, des éclats de rires ponctuaient nos imaginations dont certaines réalisations étaient vraiment à éviter.

 

On en retenait quand même quelques unes.

 

Mon portable bipait, c’était Vanessa.

 

-  Chui b1 rentré né pa tro soufer lol! Merci pr tt vtr soumise ;-) . On se couchait de bonne heure, Carole entre nous deux, William insistait pour la monter, j’acceptais qu’il la travaille.

 

Il la défonçait longtemps, m’empêchant de m’endormir, tant le lit bougeait et tant elle râlait.

 

Je ne participais pas et me contentais de les regarder et de les entendre.

 

- Encore ! Encore….Plus fort!….Viens!….  Ne cessait de répéter ma femme.

 

- Tiens! Salope…..Prend ça dans ton cul… Répétait William.

 

Une heure passait, Carole avait fini par jouir, je pouvais enfin dormir.

 

La nuit portait conseil, et au réveil j’avais une idée intéressante dont je n’arrivais pas à me défaire.

 

Pendant le café, j’exposais ma trouvaille à Carole et à William.

 

Je me souvenais de ce rustre paysan qui avait sauté Carole juste avant sa rencontre avec Vanessa.

 

Je pensais qu’il serait assez excitant de lui confier notre soumise pour qu’il en fasse ce que bon lui semblerait.

 

Peut être que sa nature rurale ne l’empêchait pas d’avoir un peu d’imagination…Même au contraire.

 

Carole se souvenait de sa récente mésaventure et racontait à William les conditions de la brutale et désagréable fornication qu’elle avait dû subir.

 

Elle ne manquait pas, me regardant, de préciser qu’elle avait agit sur ordre.

 

William soudain très excité par la narration détaillée de Carole s’écriait,

 

- C’est génial! faut qu’on retrouve ce mec…… 

 

On savait comment on allait occuper notre journée

 

et on était impatients de partir faire les détectives pour retrouver l’énergumème.

 

On se dépêchait de terminer notre café, prenait une douche et s’habillait.

 

On se retrouvait dans la voiture, Carole assise derrière, nous guidait.

 

C’est sans grande difficulté qu’elle retrouvait la route qu’elle avait empruntée, se souvenant exactement de l’endroit où elle avait été prise en charge.

 

Il lui restait à retrouver le petit chemin qui menait à la masure où elle avait du subir son outrage.

 

- C’est là! Je crois………Plus loin sur la gauche.

 

Je tournais dans le chemin……

 

- Non! C’est pas là……  dit-elle

 

- Ça doit être un peu plus loin….. 

 

Je continuais sur quelques centaines de mètres, Carole avait l’air un peu perdu.

 

- Ben alors! Tu te souviens pas où t’as pris ton pied? dit William avec l’intelligence qui le caractérisait.

 

Après trois tentatives, on trouvait enfin le chemin.

 

J’avançais lentement, j’avais pris la Mercedes peu habituée à des chemins aussi dégueulasses.

 

On arrivait dans une cour que je reconnaissais tout de suite c’était la description que m’en avait faite Carole.

 

- C’est là! S’écria-t-elle.

 

- Je sais, j’ai reconnu! 

 

Il y a des descriptions excitantes que l’on n’oublie pas facilement, pensais -je.

 

C’était complètement désert, on sortait de la voiture.

 

J’apercevais une porte pendante sur l’un des batiments……

 

- C’est là que tu t’es faite sauter? demandais je à Carole.

 

- Euh ! Oui dit-elle.

 

- Vous voulez voir?… 

 

On franchissait la vieille porte, la grange était telle que décrite par ma femme, au sol de la vieille paille pas très propre et un peu humide.

 

Une empreinte encore visible marquait la présence récente d’un corps.

 

- C’est là ? 

 

- Oui, juste à cet endroit, on voit encore les marques.

 

Je me remémorais sa narration de la scène et me mis à bander….

 

Et William d’ajouter,

 

- T’as pas eu les boules? Dans un endroit aussi paumé. 

 

On n’était pas là pour ça, il nous fallait retrouver le propriétaire des lieux. 

 

On fouinait un peu partout, le sol boueux nous collait aux godasses, on aurait du mettre des bottes.

 

On entrait dans un autre bâtiment, la porte n’était pas fermée à clef, on découvrait une grande pièce sombre.

 

Je demandais à William d’ouvrir les volets de bois sur l’unique fenêtre.

 

Une faible lumière pénétrait la salle et nous permettait d’y voir un peu plus clair.

 

La pièce était habitée d’une table, de trois chaises de paille dont une complètement percée, une vieille cheminée en pierre et poutre de chêne abritait des bûches noircies.

 

Un carton de biscuits percé et accroché à l’envers à la douille du plafond faisait office d’abat- jour.

 

Le sol était en terre battu, ça sentait l’humidité et le moisi, les soliveaux du plafond étaient tellement fléchis qu’on pouvait craindre de se prendre le plafond sur la gueule.

 

Les murs enduits à la chaux avaient été peints il y a fort longtemps d’un vert devenu chiasseux.

 

Accroché à un clou à coté de la porte, un calendrier des poste avec la photo de trois chatons dans un panier, nous rappelait qu’en 1953 la maison devait être habitée.

 

Sur la table, une assiette depuis longtemps nettoyée par les insectes et un verre crasseux attendaient depuis des lustres un visiteur improbable, une bouteille opaque à moitié pleine paraissait contenir encore je ne sais quel liquide.

 

William prenait la bouteille et s’écriait,

 

- C’est du cidre! Du bon cidre ben de chez nous! T’en veux un coup Carole ?

 

Il en restait dedans, une croûte épaisse et noirâtre recouvrait la surface du liquide.

 

Il rigolait de sa blague, Carole faisait la moue, il voulait prendre le verre mais celui-ci restait collé sur la table.

 

Le temps avait transformé la crasse et la graisse en une espèce de colle très efficace.

 

On décidait de quitter cet endroit un peu lugubre.

 

On remontait dans la voiture, quand soudain on entendait le moteur d’une guimbarde qui se dirigeait vers la ferme abandonnée.

 

- Je reconnais le bruit! S’écriait alors Carole..C’est le gros pourceau …….C’est sûr! 

 

Effectivement, c’était bien lui.

 

Il descendait de sa voiture, l’air « Propriétaire » et nous interpellait.

 

- Quique vous foutez là? dit-il.

 

- Il s’est toujours pas lavé!  me soufflait Carole.

 

Il s’approchait et reconnut ma femme….Il eut un petit mouvement de recul…Je le rassurais.

 

- N’ayez crainte, il n’y a pas de problème. lui dis-je.

 

Je l’emmenais à l’écart et le rassurais sur notre présence.

 

Je lui expliquais alors le réel but de notre visite. Je lui disais que ma femme avait beaucoup apprécié la façon dont il l’avait honoré et qu’elle s’en était trouvée très satisfaite.

 

- C’est ti que la p’tite dame veut que je lui en remette une? me dit-il.

 

Je lui expliquais qu’elle avait eu sa dose et que je venais pour sa meilleure amie à laquelle elle avait confié son agréable aventure.

 

Le péquenot paraissait tout fier et tendait l’oreille.

 

- Oui, mais!… Moué, je monte pas n’importe quoi, faut que ça vaut le coup! 

 

Je demandais à William de m’apporter mon numérique laissé dans la voiture.

 

Je montrais les quelques photos de notre beauté nue.

 

- Ben mazette! En v’là d’une belle pouliche? Crénom de dieu!…C’é ti bien foutu!.. 

 

Je savais qu’un corps aussi jeune et magnifique ne le laisserait pas insensible.

 

Je lui précisais alors que je pouvais la lui prêter gratuitement pendant un week-end, disons du samedi après-midi au lendemain dimanche même heure.

 

Il était déjà emballé et se remontait les couilles en se les grattant de sa grosse main calleuse.

 

Je lui précisais toutefois les modalités du prêt.

 

La jeunette était consentante et avait hâte de le rencontrer, mais il devrait contre tous ses dires, la maintenir attachée durant tout son séjour.

 

- Elle a des espèces de fantasmes, vous comprenez ? lui dis-je.

 

Il devrait aussi lui faire en vingt quatre heures subir plusieurs assauts, huit me paraissait un bon chiffre facile à réaliser pour un solide comme lui.

 

Il acquiessait et avait le visage rougi par une montée de sang.

 

La petite aimerait aussi que vous honoriez son anus, elle

 

apprécierait beaucoup, en fait elle veut un maximum.

 

Le bonhomme était écarlate……………

 

Elle ne détesterait pas non plus quelques coups de cravache….

 

Je croyais un instant qu’il allait faire une crise d’apoplexie………

 

C’était un vrai sanguin.

 

Je lui posais la question de savoir où il comptait la besogner.

 

- Ben ici! A la vieille ferme, ya jamais personne qui vient c’est tranquille, et puis on entend rien! 

 

Il me proposait de me faire visiter l’endroit ou il comptait la séquestrer.

 

William nous accompagnait, Carole restait dans la voiture.

 

On contournait le bâtiment, puis entrait dans une petite bâtisse au fond de laquelle un escalier de pierre descendait dans une cave.

 

Il marchait devant nous pour nous indiquer le chemin.

 

- Je passe devant, faites attention les marches sont humides, ça glisse.

 

J’écartais de mon bras les toiles d’araignées agressives qui se collaient sur mon visage.

 

- C’est vraiment crado ici! dit William.

 

Au pied de l’escalier qu’il éclairait d’une lampe torche, une porte en chêne bardée de clous de forgeron, semblait n’avoir pas été ouverte depuis des siècles.

 

Il ôtait le cadenas et ouvrait la porte, une forte odeur de renfermé nous pénétrait les bronches.

 

Il appuyait sur un interrupteur et une faible ampoule solitaire sembla surprise de s’allumer.

 

On y voyait moins qu’avec la lampe, mais nos yeux s’habituaient et en une minute on découvrait la cave.

 

Il n’y avait pas de soupirail, le sol dallé était humide avec en son centre une rigole dans laquelle coulait un petit filet d’eau sale.

 

- C’est l’écoulement de l’ancienne fosse, elle marche encore, vu qu’j’utilise toujours les ouatères.  

 

Par endroit les murs pleuraient, de l’eau suintait creusant les dépôts de salpêtre.

 

Une odeur âcre encore plus caractéristique se faisait sentir, c’était un vieux tonneau de cidre putréfié qui dégageait ce relent. Des anneaux d’acier rouillé étaient fixés aux murs,

 

des chaînes y étaient accrochées pendantes et inutiles.

 

- C’est là qu’on attachait les cochons pour les saigner……...A c’t’heure! Ca sert plus. 

 

Il ne faisait pas très froid dans cette pièce complètement en sous-sol.

 

Je lui faisais remarquer qu’il n’y avait même pas une paillasse pour son invitée.

 

- Mais c’est pas là que j’vas la besogner le plus.

 

La cave c’est juste pour la nuit…. J’vas l’attacher aux chaînes pour pas qu’è bouge et j’vas quand même amener un peu de paille.

 

J’étais rassuré, William aussi.

 

Il nous restait à convenir d’une date.

 

On se donnait rendez-vous en ce lieu pour le samedi suivant.

 

- Comme j’suis là, j’vas en profiter pour mettre la paille tout de suite. dit-il.

 

- Vous ne craignez pas qu’elle ne s’humidifie d’ici samedi?  l’interrogeais-je.

 

- Bah! J’crains pas! Et puis quand même ce serait ti? 

 

Je lui demandais,

 

- Dites! Mon brave, votre prénom c’est quoi? 

 

- Moué c’é Eugène! Pourquoué? 

 

- Pour rien!……… Juste pour savoir. On allait se quitter, quand il me rappelait.

 

- Au fait, elle mange quoi?  Criait- il.

 

La voiture roulait déjà, je baissais la glace et lui répondais.

 

- De la M…. 

 

Il en restait les bras ballants, j’espérais qu’il avait compris que c’était une blague.

 

- Alors? C’est comment? dit Carole.

 

- Du quatre étoiles!…..Mais d’une autre galaxie!  ironisa William.

 

Je lui laissais le soin de décrire le décor idyllique qui attendait Vanessa.

 

 

 CHAPITRE 11

 

 

 

On rentrait, midi était proche, je m’arrêtais devant un petit restaurant que je fréquentais autrefois.

 

- Tiens ! Un revenant, ça faisait longtemps. dit la patronne avec un large sourire.

 

Il y avait peu de personnes, on s’installait dans la

 

Véranda qui offrait une vue imprenable sur l’embouchure de la rivière dont les tortueuses méandres disparaissaient à l’horizon pour se jeter dans la mer.

 

C’était marée basse, les pâturages n’étaient plus noyés, on distinguait les points blancs des moutons de présalés qui se déplaçaient lentement sur la prairie.

 

La patronne nous apportait la carte.

 

- Ya quoi au menu du jour? demandait Carole.

 

- En entrée, j’ai une terrine maison, après je peux vous proposer un civet de lièvre……

 

C’est du bon!…C’est des bracos qui m’approvisionnent.

 

On suivait les recommandations, arrosées de la cuvée du patron.

 

On se régalait du copieux et excellent repas et on terminait par une tarte Tatin et un café.

 

Je pensais qu’on pourrait peut être inviter Vanessa dans ce restaurant avant de la confier à la grosse brute.

 

Il était souhaitable qu’elle prenne des forces avant de traverser les épreuves auxquelles elle serait soumise.

 

Ma suggestion entrainait l’accord de tous.

 

Je réservais une table pour le samedi midi et réglais l’addition.

 

On rentrait et se vautrait sur le canapé, repus et un peu fatigués.

 

- Je tirerais bien un petit coup! Tout ça m’a rempli les boules . dit William.

 

Pour le satisfaire, je lui prêtais Carole et les envoyais dans la chambre.

 

J’allumais la télé et m’assoupissais.

 

Carole me réveillait, je regardais la pendule il était seize heures.

 

- Réveille toi! Il est seize heures…. 

 

- Je sais, j’ai vu!….Où est William? 

 

Elle me répondit qu’il dormait encore après qu’il l’ait chevauchée pendant plus d’une heure et demi.

 

- Il est increvable!…  me dit Carole.  

 

- Il m’a prise sans arrêt, sans débander, par devant, par derrière……..J’en avais marre!…….

 

- Te plains pas, tu as du prendre ton pied? 

 

- Oui! C’est vrai…..deux fois. Avouait-elle.

 

On laissait l’étalon se reposer et buvait un café.

 

Je tuais le temps en regardant la télé, Carole visitait un site de sextoys sur le net à la recherche de nouveautés.

 

- Regarde celui -là! Ça doit être bien!…. 

 

Je regardais……..

 

- Humm……Ça me parait un peu trop gros. lui dis-je.

 

- Et l’autre là!…….Il n’est pas très cher!…….Tu crois qu’il rentrerait? 

 

- Avec beaucoup de vaseline ..Peut-être?  lui répondis-je.

 

Le soir arrivait, William descendait l’escalier vêtu de son seul slip et se frottait les yeux.

 

- Je suis crevé!……  lâcha-t-il.

 

- Elle est inépuisable la Carole! 

 

Songeur, je méditais sur leurs réflexions respectives séparées de deux heures.

 

Sans doute avaient-ils raison tous les deux.

 

- Bon! Et si on se préparait à manger? Osais -je.

 

J’envoyais Carole dans la cuisine, et lui demandais de nous servir l’apéritif.

 

On terminait la soirée en regardant un film sur la chaîne culturelle ce qui nous permettait ce soir là de dormir un

 

peu plus savants et donc normalement moins cons.

 

C’était pas gagné.

 

William que la sieste n’avait pas rassasié s’endormait comme une masse.

 

Je demandais à ma femme de me sucer les couilles et je me branlais, me garantissant ainsi une nuit de sommeil bien sereine.

 

Je me réveillais vers neuf heures, j’avais encore rêvé en couleur.

 

Je secouais les endormis, William avait son rendez-vous

 

chez Paul Emploi à dix heures.

 

J’accompagnais Carole au supermarché, il fallait faire des compléments de courses.

 

Avant midi, on était rentrés, le frigo était plein. Le fromage regardait nostalgique les plaquettes de beurre entassées, et pensait peut-être avec mélancolie que sa vie aurait pu s’arrêter là.

 

Les tranches de jambon suaient dans leur cellophane comme si elles avaient fait une course à pied, la bouteille de lait était contente de faire une balade avec le jus d’orange à chaque fois qu’on ouvrait la porte.

 

Les canettes de Coca perchées tout en haut pouvaient faire la causette avec le Périer, chacune vantant les mérites de leur pouvoir désaltérant.

 

Je me demandais pensant à toutes ces pauvres victuailles si réellement la lumière du réfrigérateur s’éteignait quand on fermait la porte.

 

Carole s’affairait à ranger le reste et s’apprêtait à faire à la cuisine.

 

William frappa à la porte.

 

- Alors tu as du boulot? lui demandais-je.

 

- Peut-être que oui! mais pas avant un mois. annonçait-il d’un air satisfait.

 

- C’est un Artisan menuisier qui cherche un gars.

 

Ça tombait bien pensais-je, William était justement menuisier. Il se trimbalait depuis plus d’un an avec son Brevet obtenu avec mention.

 

Après le repas, je proposais qu’on fasse une petite sieste crapuleuse.

 

J’avais envie que l’on offre à Carole une double pénétration, j’avais le souvenir qu’elle m’avait dit un jour. « Si j’avais su que ça faisait tant de bien j’aurais commencé il y a longtemps

 

On se mettait en place, William, qu’elle avait commencé à sucer, était allongé sur le dos en travers du lit, une partie de ses jambes dans le vide.

 

Je me branlais pour faire gonfler ma tige.

 

La queue de William était devenue assez dure et rigide. Carole se mettait à cheval sur lui et s’aidant d’une main, introduisait le membre à l’intérieur de son vagin.

 

Je me présentais debout derriére et commençais à apprécier le lent mouvement de ses reins qui montaient et descendaient.

 

Elle était à genoux, penchée, le visage dans son cou, les bras allongés en avant, les cuisses très ouvertes.

 

Je voyais la longue tige qui apparaissait et disparaissait à l’intérieur du sexe.

 

La queue de William était toute annelée de liqueur blanchâtre, sans cesse plus abondante, secrétée par les glandes de Carole.

 

J’interrompais son mouvement, lui demandais de bien tendre son cul, et, lui enduisant l’anus de sa propre crème, j’approchais mon gland et l’enculais d’un fort coup de rein.

 

J’entendais un « Han! »

 

Il fallait maintenant trouver le bon rythme, alterner les entrées et les sorties pour que ni William ni moi ne soyons chassés de nos fourreaux différents.

 

On trouvait ensemble assez vite l’harmonie de nos ondulations et je l’enculais tandis qu’il la baisait…..

 

Et il la baisait tandis que je l’enculais.

 

La lente danse durait plus de vingt minutes, on n’entendait plus les clapotis de ses orifices, couverts par les râles et les grognements qu’elle ne cessait d’émettre.

 

Soudain, elle redressa la tête en criant comme une femme qui accouche dans la douleur.

 

Elle venait de jouir en un double orgasme d’une extrême violence.

 

Nous, on implosait, la retenant un instant.

 

Elle tombait sur le côté, désarçonnée, son corps dans une dernière contraction se pliait en boule.

 

Elle avouerait quelques minutes plus tard qu’elle ne savait plus si elle avait joui par la chatte ou par le cul ………Ou les deux en même temps.

 

William et moi on regardait nos jus respectifs qui sortaient de ses deux orifices, se mélangeaient et coulaient sur le drap le maculant d’une seule et unique large tache.

 

Après cela……….On prenait une douche.

 

Demain, c’était samedi. Carole avait téléphoné à Vanessa.

 

Elle devait arriver en fin de matinée.

 

La journée risquait d’être un peu longue, on se couchait de très bonne heure ce vendredi soir, on pensait tous à Vanessa.

 

Tout le monde était au lit, sauf William qui préférait rester dans le salon pour lire un bouquin pris dans la bibliothèque.

 

- De la terre à la lune, Jules Verne, ça doit être sympa? 

 

Je l’encourageais.

 

Carole choisissait de relire « Histoire d’ô » et moi je reprenais la lecture de l’œuvre de Donatien « Justine ou les malheurs de la vertu »

 

On s’endormait très vite, laissant nos lectures inachevées.

 

A notre réveil, William était déjà debout et avait préparé le café.

 

- J’ai pas fini le bouquin, mais c’est vachement bien! 

 

- Je te le prête, il faut que tu le termines. lui dis-je.

Dix heures, notre superbe Vanessa arrivait, radieuse, encore plus belle et en pleine forme.

 

Je lui expliquais qu’on allait au restaurant ce midi et qu’on lui avait préparé une surprise pour son week-end.

 

- J’adore les surprises! me dit-elle.

 

Je lui précisais toutefois que c’était pour confirmer sa soumission.

 

Elle regardait Carole et William lesquels d’un hochement de tête innocent confirmaient mes propos.

 

Elle n’avait pas l’air inquiète, mais son attitude et son regard, laissaient entrevoir une certaine interrogation.

 

- De toute façon, j’ai promis d’obéir. dit-elle en souriant.

 

Je lui demandais de me présenter son carnet.

 

Je lisais à haute voix ce qu’elle avait noté.

 

- Je me suis touchée la chatte, jeudi soir à vingt -deux heures, j’ai mouillé et j’ai joui. 

 

Je la félicitais de ses notes et lui demandais quelques détails, notamment sur la durée de ses caresses.

 

- Euh!… Ça a duré quelques minutes seulement.

 

Je lui rappelais que l’imprécision pouvait lui valoir un châtiment, mais que pour cette fois, je ne la punissais pas.

 

- Je ferais attention pour la prochaine fois. s’excusa-t-elle.

 

- Tu n’as pas eu de fantasmes ou rêveries un peu cochonnes? Je ne vois rien de noté. 

 

- Non!………Rien ……Je me suis juste touchée avec les doigts et frottée avec mon coussin.

 

Je demandais à Carole de la déshabiller et de la revêtir d’une djellaba que nous avions rapportée du Maroc.

 

Elle était nue, magnifique, elle n’avait pas de slip, je la félicitais.

 

Carole l’aidait à enfiler sa nouvelle tenue.

 

Il fallait un vêtement facile à enlever.

 

Je demandais discrètement à William de ne pas oublier les bracelets, le collier et surtout le bâillon.

 

Je glissais dans la poche de mon blouson le tube de vaseline.

 

On s’asseyait sur le canapé, et chacun y allait de ses compliments tant sur le port de son nouveau vêtement que sur la grâce qu’elle imposait.

 

- On va faire quoi après le restaurant? demanda-t-elle.

 

- C’est ta surprise, justement! dit Carole.

 

- Tu vas pas être déçue! ajouta William.

 

- On fait tout pour te faire plaisir! ajoutais-je.

 

Il était l’heure de prendre la route, on s’installait dans la voiture.

 

Je garais la voiture sur le stationnement réservé à la clientèle.

 

Claudette la patronne, avait réservé dans la véranda une table qu’elle avait gentiment garnie en son centre d’un bouquet de fleurs.

 

On restait près de deux heures au restaurant, j’avais encouragé Vanessa à bien manger.

 

On regagnait la voiture, on avait bien arrosé le repas.

 

On arrivait dans la cour de la ferme, la bétaillère vide était accrochée au break, le ciel était sombre.

 

- C’est à moitié lugubre comme endroit. dit Vanessa.

 

- Oui! Mais tu vas voir! C’est sympa. dit William.

 

On sortait de la voiture et emmenait immédiatement Vanessa dans la grange où Carole s’était faite durement sautée.

 

-Tu vois les traces dans la paille. dis-je à notre jeune soumise.   - C’est la trace du corps de Carole, elle s’est faite bourrer ici juste avant que tu la prennes en stop.

 

- Ah bon! Et alors?……. 

 

- Et alors!………Toi aussi tu vas te faire bourrer au même endroit, sur la même paille.

 

- Mets toi à poil! ordonnais-je.

 

- Carole et William, mettez lui ses bracelets.

 

Elle était nue dans sa vénusté, les pieds sur la paille.

 

Soudain, le gros cochon entrait dans la grange.

 

Il s’arrêtait net, médusé par la beauté de la jeune fille.

 

- Vain dieu!!!!!!!!!! C’é ti pas beau ça!…….Ben mieux qu’sur les photos. 

 

Vanessa croisait les mains sur son pubis et pliait les jambes, elle nous regardait surprise et apeurée.

 

- Qu’est-ce qui se passe ? demanda-t-elle.

 

- C’est le début de ta surprise. lui dit Carole.

 

- Et c’est pas fini!….  ajouta William.

 

J’expliquais à Vanessa que je l’avais prêtée pour vingt quatre heures au propriétaire de la ferme, lui expliquais aussi que c’était un bon coup et qu’il était particulièrement viril et bien pourvu.

 

- Nonnn!!!! Pas ça!….Pas lui !…..Je peux pas!…… 

 

- Tais toi! Obéis et pas de cinéma inutile! Sinon gare! 

 

Elle baissait les yeux et sanglotait.

 

- Allons, un peu de courage! lui dit Carole.

 

- Ce n’est qu’un mauvais moment à passer. ajoutait William.

 

- De toute façon, t’as pas le choix. renchérit Carole.

 

- J’peux la prendre tout de suite ? interrogea le rustre.

 

Le Quasimodo impatient avait déjà retiré son pantalon crasseux, les yeux exorbités, il avançait vers Vanessa.

 

J’étais époustoufflé, entre ses cuisses pendait une massue, elle gonflait à vue d’œil.

 

- C’est pas des couilles…..C’est des melons! me souffla William.

 

La petite, effrayée, recula, se prit les chevilles dans un manche de fourche et tomba à la renverse les jambes écartées.

 

L’engin énorme du rugueux était dressé à son paroxysme, prêt à frapper.

 

Carole regardait, le visage marqué par une peur rétrospective.

 

Il se jetait sur notre Esmeralda qui disparut sous la masse.

 

Il l’avait emboitée en tombant dessus, la petite lâcha

 

un cri déchirant et hurla de douleur.

 

Un chat caché dans un coin de la grange s’enfuyait terrorisé et ventre à terre par la porte restée ouverte.

 

Elle criait toujours et encore………

 

Le gros cul poilu, parsemé de petites vésicules boutonneuses, se mettait à exécuter la danse démoniaque.

 

Ça montait, ça descendait………Ça allait de plus en plus vite……..On entendait à peine les plaintes de la pauvrette.

 

Ses suppliques étaient étouffées par l’énorme tas qui la labourait en la couvrant entièrement.

 

- Tiens Salope!..Vicieuse!… P’tit catin!……Prends ça……..et ça……..Sale trainée!…Garage à bite!…. Réservoir à foutre!……… 

 

On regardait et on écoutait………scotchés par la force brutale et la qualité du vocabulaire.

 

Un bon quart d’heure passait……..

 

Soudain, il se retirait de la vulve souffrante.

 

Vanessa était devenue muette.

 

- J’ai ben envie de la mettre par le petit!…….. éructa-t-il.

 

L’inquiétude, mêlée à l’excitation, se lisait sur nos visages.

 

La brute retournait Vanessa, inerte, et lui écartant les fesses pour tâter son anus, il essayait d’enfoncer un doigt dans le petit orifice, en vain….

 

- Ça va pas être facile! C’est tout neuf…et trop serré. dit-il en me regardant les yeux injectés de sang.

 

Est-ce par pitié? ………Je prenais le tube de vaseline que j’avais heureusement emporté, et me mettais à genoux derrière le fessier.

 

J’introduisais la canule dans le trou et pressais fortement sur le flacon.

 

Vanessa ne bougeait plus, tétanisée.

 

J’avais vidé la moitié du tube…….

 

- Là ……..Allez y, ça devrait le faire! dis-je.

 

Il se mettait à ma place et se collait contre les belles rondeurs.

 

Il poussait lentement……….

 

- C’é pas facile……c’é pas facile…c’é trop serré…… grogna-t-il.

 

Il poussait plus fort………

 

Un hurlement déchira le silence, un deuxième chat les yeux hagards traversa l’espace comme une fusée……………

 

Le porc avait réussi à entrer son pieu dans l’étroite caverne, ce qui une minute avant paraissait un défi impossible, s’était réalisé….. Il ne faisait qu’une petite vingtaine d’aller et retour………..et remplissait en braillant notre protégée qui s’écroulait déchirée et inconsciente.

 

Le temps s’était comme suspendu, les cris avaient cessés, le silence était de retour, brutal. Je bandais, William aussi, Carole devait certainement mouiller.

 

On s’approchait et regardait le cul tuméfié de Vanessa, le trou encore béant d’où coulait à flot un abondant liquide jaunâtre, était agité de contractions et se refermait lentement.

 

Le paysan secouait son gourdin à peine ramolli, des gouttes de sperme partaient dans tous les sens, William en recevait sur son jean……..

 

- Eh!……..Attention gros cradoque!…t’en fous partout!….  se permit-il.

 

Carole et William relevaient la gamine, son regard était absent, ils la portaient prenant ses bras par-dessus leurs épaules, ses pieds trainaient au sol emportant de la paille qui se coinçait dans ses orteils.

 

Il fallait maintenant l’emmener dans sa chambre.

 

On attendait quelques minutes qu’elle reprenne ses esprits.

 

Ses premiers mots furent.

 

- Où suis-je?……J’ai mal……… 

 

On se retrouvait dehors, elle commençait à pouvoir poser un pied devant l’autre, la pluie s’était mise à tomber.

 

On traversait la cour, Carole la portait encore, elle était trempée, ses jolis cheveux bruns collés sur le visage et dans son cou.

 

Quasimodo marchait devant, sa lampe torche à la main, suivi de William, qui les mains sur la tête cherchait à se protéger sans succès de la pluie, Carole aidait Vanessa qui marchait péniblement les pieds nus dans la boue, je fermais la marche.

 

La colonne arrivait devant l’escalier de pierre.

 

Le cadenas ôté, la porte s’ouvrait, Carole découvrait la chambrette, elle me regardait stupéfaite.

 

Vanessa comprit tout de suite et tenta une fuite inutile en se débattant.

 

La petite ampoule s’étonnait de s’allumer, ça faisait deux fois dans la semaine.

 

- Passez lui les chaînes! demandais-je à william et Carole.

 

Elle se retrouvait vite attachée, les jambes et les bras un peu écartés et les fesses sur la paille.

 

Je touchais le foin, il n’avait pris que très peu l’humidité.

 

- J’va la laisser là jusqu’à demain………

 

-J’passerai voir la belle toutes les deux heures pour la besogner. dit la bête.

 

- Ça vous dit ti que j’vous la cravache un peu? Avant qu’vous parte.

 

- Ma foi! Pourquoi pas? dit William.

 

Je donnais mon accord, le lourdeau saisit une cravache pour bestiaux qui pendait au mur, et d’un geste professionnel lui en assenait cinq coups, frappant au hasard sur le corps recroquevillé.

 

Elle cria très fort.

 

Entravée, elle n’avait pas pu se protéger, ce sont surtout les seins qui furent frappés.

 

On décidait de partir assurés que notre soumise était entre de bonnes mains.

 

- J’vas lui laisser la p’tite lumière! dit-il généreusement.

 

On souhaitait du courage à Vanessa, elle était nue et grelottait.

 

- Va pas avoir froid longtemps j’vas venir la réchauffer! 

 

- Et pis! Javons point oublié! Huit passages! minimum……et pour la bouffe! On est d’accord! Il rigolait de sa sortie. La lourde porte se refermait, il posait le cadenas et glissait la clé dans sa poche.

 

On apprendrait plus tard, qu’à peine la cave fermée,

 

l’ampoule mourrait, sans doute choquée par le spectacle

 

auquel elle venait d’assister, laissant la suppliciée dans l’obscurité.

 

On se donnait rendez-vous pour le lendemain à quinze heures et montait dans la voiture, la pluie avait cessé mais il ne faisait pas très chaud.

 

On roulait en direction de la maison.

 

- Merde! On a oublié de laisser le bâillon..  s’écria William.

 

- C’est pas grave! Là où elle est, personne n’entendra. 

 

- Vous êtes quand même pas un peu trop durs? dit Carole qui se taisait depuis longtemps.

 

- Comment ça? Vous. Répliquais-je.

 

On était rentrés, confortablement installés dans le canapé, j’avais remis des bûches dans l’âtre, les flammes caressaient le pare- feu et nous réchauffaient doucement.

 

Je dégustais avec William un vieux Bourbon qu’il appréciait, j’y avais ajouté un peu de crème de cassis.

 

Carole sirotait un Kir, je crois même que c’était le deuxième.

 

On avait tellement bien mangé dans le petit restaurant que personne n’avait faim.

 

On se contentait pour le soir de quelques amuse- gueule

 

arrosés d’un St Emilion.

 

La journée avait été fatigante, personne n’avait envie de lire.

 

On regardait un film banal à la télé et se couchait tôt.

 

Excités tout de même en pensant à Vanessa, on montait chacun notre tour sur Carole.

 

Je commençais en missionnaire, elle jouit vite, moi aussi.

 

Je la passais à William, il choisissait la levrette.

 

Ravie, elle jouit une seconde fois.

 

On se souhaitait une bonne nuit et s’endormait……

 

Le lendemain, on ne se levait pas très tôt.

 

La matinée passa vite, à quinze heures on était au rendez-vous.

 

La brute nous attendait, assis dans sa voiture, la portière ouverte.

 

Sa radio braillait, il écoutait les pronostics du tiercé d’un diffuseur local.

 

Je remarquais ses yeux pochés, il n’avait pas beaucoup dormi.

 

- Salut ça va ti? Z’avé bien dormi? dit-il.

 

Sans attendre de réponse, il enchainait.

 

- Qu’est c’que j’y ai mis à la petite! 

 

-J’peux dire qu’j’y ai agrandi les mortaises!

 

- Elle est toute fatiguée et mollassonne……C’é pourtant ben vrai qu’elle a pas beaucoup dormi.

 

- J’y en ai mis qu’sept rations, quatre dans la salle des fêtes et trois dans la boite arrière, pour cause, en milieu de nuit j’ai oublié de me réveiller, c’é qu’ça use une jeunette comme ça! 

 

Je demandais à voir la patiente mais il continuait, intarissable…….

 

- A rin voulu mangé, avait point faim……J’y ai pourtant mis une gamelle de merde…….Rin à faire pour la lui faire bouffer, j’ai eu beau cravacher, rin à faire! C’é qué lé têtu la p’tite garce! 

 

Un peu inquiet, j’insistais pour récupérer le prêt que je lui avais consenti.

 

Il me tendait la clé de la cave.

 

On se précipitait tous les trois, j’ouvrais la porte et balayais la pièce avec la lampe torche.

 

- Nom de Dieu!! S’écria William.

 

-Dans quel état qu’il l’a foutue!

 

On la détachait et Carole lui mit une couverture sur le dos.

 

La Bête était passée sur la Belle.

 

Elle était hagarde et regardait fixement droit devant elle…………

 

On l’allongeait sur la banquette arrière et rentrait vite.

 

Après une bonne douche et un bon repas auprès de la cheminée, elle reprenait lentement ses esprits……Très lentement.

 

Il n’y avait pas de dégâts majeurs, si ce n’est au niveau de ses orifices qui nécessitaient une mise au repos pendant quelques jours.

 

Les semaines passaient, puis les mois…..

 

L’été était enfin arrivé.

 

On avait, Carole et moi, régulièrement passé des

 

week-end avec William et Vanessa.

 

Les visites s’étaient faites plus rares au fil du temps.

 

William travaillait et s’était installé avec Vanessa dans un petit studio.

 

Ils étaient devenus inséparables et filaient en harmonie

 

un parfait amour.

 

C’était un samedi de Juillet, on attendait Vanessa et William, on avait programmé de se faire un barbecue, la journée était ensoleillée et prometteuse.

 

Vanessa frappa à la porte, j’ouvrais, elle était acompagnée d’une superbe poulette………….

 

-Je te présente Chloë, elle faisait du stop, je l’ai invitée.

 

-Tu as bien fait!….Bonjour! Chloë …….Tu as quel âge?

 

-Dix-huit depuis hier………Monsieur.

 

-C’est bien mon petit….. Entre!

 

 

FIN

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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